Il est sans aucun doute l'un des plus gros fiascos de Pablo Longoria. Recrue la plus chère de l'OM (32M€), Vitinha ne s'est jamais imposé en Ligue 1. Son départ était devenu une nécessité. Un an après son arrivée, l'attaquant a été prêté jusqu'au Genoa. Et ce court passage en Italie lui a ouvert les yeux.
Vitinha n'a pas laissé une grosse empreinte à l'OM. Très attendu en raison du prix de son transfert, l'ancien attaquant du Sporting Braga n'est pas parvenu à se défaire de cette pression. Le joueur, qui n'a été que l'ombre de lui même durant son passage, a été contraint de s'exiler. Prêté au Genoa jusqu'à la fin de la saison, Vitinha n'a inscrit que deux buts en Serie A, mais cela suffit à son bonheur.
Mercato - OM : Un accord imminent est annoncé à l’étranger ! https://t.co/E3Z93wzJfJ pic.twitter.com/fpyDEBQEnV
— le10sport (@le10sport) June 12, 2024
Vitinha annonce la couleur pour son avenir
Il y a quelques jours, Vitinha a confirmé qu'il souhaitait poursuivre sa carrière en Italie. « J’ai senti que le Genoa pouvait être le bon choix pour me retrouver et c’est ce qui s’est passé. Je traverse la période la plus difficile de ma vie, mais j’y fais face aussi grâce à l’aide du club. Il reste encore neuf matchs, mais je veux rendre la pareille à Genoa. Au Genoa, j’ai trouvé le vrai Vitinha mais le choix ne dépend pas de moi. À la fin de la saison, les deux clubs se rencontreront et discuteront de mon avenir car le prêt sera jusqu’en juin » avait-il déclaré à Il Secolo XIX.
Les discussions ont débuté en coulisses
Selon les informations du journaliste belge Sacha Tavolieri, Vitinha ferait pression en privé pour rester au Genoa. Des premières réunions ont eu lieu mardi pour négocier un nouveau projet. « Nous sommes satisfaits de ce que fait Vitinha, de la façon dont il s'est positionné. Nous sommes satisfaits de la façon dont cela s'intègre dans la réalité, voyons ce qui se passera d'ici à la fin de la saison » avait déclaré Marco Ottolino, directeur sportif du club italien. Les positions se rejoignant dans ce dossier, il n'y a plus qu'à discuter.