F1 : Calvaire chez Ferrari ? Les vérités de Lewis Hamilton
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Cinquième à l’arrivée du Grand Prix de Bahreïn ce dimanche, Lewis Hamilton a réalisé sa meilleure prestation en course depuis son arrivée chez Ferrari. Toujours derrière Charles Leclerc en termes de rythme, le septuple champion du monde s’est livré sur ses débuts pour le moins compliqués au sein de l’écurie italienne.

S’ils ne parviennent toujours pas à viser le podium, Charles Leclerc et Lewis Hamilton ont fait un pas en avant avec Ferrari ce dimanche. Longtemps troisième, le Monégasque a finalement terminé quatrième du Grand Prix de Bahreïn, tandis que le Britannique a terminé cinquième juste derrière son coéquipier. Si le début de saison reste compliqué pour la Scuderia, des progrès notables ont pu être constatés sur le circuit de Sakhir.

« Je suis encore un ton en dessous de Charles avec cette même voiture »

Malgré tout, les débuts du septuple champion du monde chez Ferrari restent en deçà des attentes. Pour Lewis Hamilton, cela s’explique tout simplement par une période d’adaptation pas encore terminée. « C’était une belle course, j’ai maximisé ce que j’avais avec moi mais il est clair que je suis encore un ton en dessous de Charles avec cette même voiture. On l’a vu en qualifications. La stratégie était la bonne, bravo aux gars pour les arrêts parfaits, nous ne pouvions pas faire mieux », a d’abord confié « King Lewis » dans des propos rapportés par Next-Gen Auto.

« Je commence à m’y habituer petit à petit »

« Ce qui est clair, c’est que nous, humains, avons tendance à rester ancrés dans nos habitudes. Je pense que j’ai piloté avec un certain style et une certaine façon de faire avec la même équipe pendant si longtemps, et je suis passé à une nouvelle voiture, ce qui nécessite un style de pilotage et des réglages très différents. Je m’y habitue, je commence à m’y habituer petit à petit et à trouver le bon équilibre. Ce qui est clair, c’est que Charles part avec un réglage et le conserve pratiquement tout le week-end, alors que j’étais loin de lui le week-end dernier et ce week-end », conclut Hamilton.

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