Fan inconditionnel de football, j’ai toujours voulu consacrer ma vie au ballon rond, que ce soit sur un terrain ou derrière un ordinateur. Une évidence pour moi, qui à cinq ans déjà, vibrait devant la victoire de l’équipe de France face au Brésil lors de la Coupe du monde 2006. Après les Bleus, place au club de la capitale. Ayant grandi près du Parc des Princes, ce fût assez naturellement que me vint une passion pour le PSG. Issu de la génération 2000, je fais partie de ceux qui ont connu les dernières heures du PSG pré-Qatar, jusqu’à l’arrivée titanesque de QSI à la tête du club.
Ayant toujours voulu intégrer une rédaction sportive, c’est avec grande joie que j’ai rejoint le10sport en stage en janvier 2023. Après un double cursus à la Sorbonne nouvelle en Espagnol/Communication, j’ai décidé de tout arrêter pour me recentrer sur mes rêves de gosse : le journalisme. Après trois années d’études du côté de l’IEJ Paris, me voilà arrivé au sein de la rédaction du 10.
Expertises :
Bien que le football reste mon domaine principal, difficile pour moi de ne pas vibrer devant les ligues américaines que sont la NBA et la NFL. Discipline encore (trop) peu accessible en France, le football-américain possède un grand avenir, j’en suis certain… Par ailleurs, mon arrivée au 10 m’a fait reprendre un goût prononcé pour la Formule 1.
Désormais, chaque Grand Prix me permet d’être très souvent déçu des performances de Charles Leclerc… Enfin, comment ne pas aborder le tennis, à l’heure où l’ère de Rafael Nadal et de Novak Djokovic touche à sa fin… Secrètement, on espère tous voir Rafa remporter un dernier Roland-Garros !
En bref :
Un sportif : Rafael Nadal. La classe, mais aussi le mental d’acier, et surtout, l’un des plus grands accomplissements de l’histoire pour un sportif. Si Novak Djokovic détient actuellement le record de Grand-Chelem obtenus, personne n’ira déloger Rafa et ses 14 Roland-Garros.
Un footballeur : Fernando Torres. L’un des buteurs les plus charismatiques de la décennie 2000-2010, mais aussi une carrière truffée de hauts et de bas. Un impact important au sein d’une équipe d’Espagne historique. « El Niño » ne doit jamais tomber dans l’oubli…
Un club : Le PSG. Club de la capitale, club rempli d’histoire malgré les dires de certains. Devenu une véritable machine sur le plan international, le PSG procure d’énormes émotions, bien que ces dernières aient souvent conduit à de grandes déceptions…
Un entraîneur : José Mourinho. La culture de la gagne incarnée en un personnage flamboyant. Qu’on l’aime ou pas, le Portugais n’a plus rien à prouver, et a marqué de son empreinte des clubs historiques comme le FC Porto, Chelsea, l’Inter, mais aussi le Real Madrid. Un dernier tour de piste en tant que sélectionneur du Portugal, et la boucle sera alors bouclée.
Un président : Florentino Perez. Le big boss tout simplement. Ce dernier a fait du Real Madrid le plus grand club du monde, à la fois en termes de résultats sportifs, d’image, mais aussi en matière de gestion. Quand Cristiano Ronaldo était au sommet, Perez n’a pas hésité à lui indiquer la sortie alors que le Portugais se montrait très (trop) gourmand dans ses exigences salariales.
Une victoire : PSG - Atalanta Bergame (12 août 2020). Pour la première fois depuis 1994-1995, le PSG retrouvait le dernier carré de la Ligue des Champions avec un match à rebondissement en quart de finale d’une édition de C1 très particulière, et qui se jouait sur un seul affrontement. Un Neymar de gala, une victoire à l’arrache grâce à Eric Maxim Choupo-Moting, la soirée avait été animée…
Une défaite : Le mercredi 8 mars 2017 a-t-il réellement existé ? Tout supporter parisien se rappelle de ce jour funeste, où tous les éléments étaient réunis pour vivre une véritable catastrophe. La Remontada face à Barcelone, plus qu’une défaite, un véritable traumatisme…
Une compétition : La Coupe du monde 2014. Bien qu’âgé de 13 ans à l’époque pour ce mondial au Brésil, cette compétition reste parfaitement gravée dans ma mémoire. De l’humiliation de la Seleção à domicile face à l’Allemagne en demi-finale, au but de Mario Götze face à l’Argentine au bout du bout, tous ces souvenirs restent intacts.
Un souvenir d’enfance : Les larmes des gens autour de moi enfant dans un bar à l’issue de la finale de la Coupe du monde 2006 perdue par la France face à l’Italie.
Un rêve : Une première Ligue des Champions pour le PSG.
