Depuis plusieurs jours, certaines rumeurs affirment que le torchon brûle entre Max Verstappen et Red Bull. Ancien pilote, Juan Pablo Montoya a même affirmé que le divorce était acté entre les deux parties. Interrogé sur une possible envie de départ, le quadruple champion du monde est sorti du silence en jouant la carte de l’apaisement.

« Avec la façon dont Red Bull fonctionne actuellement, il pourrait aller voir Toto et lui dire : "Écoute, je suis prêt à accepter moins que ce qui était prévu (en 2024) pour conduire ta F1". Est-il prêt à faire ça ? C’est en tout cas le début de la fin pour Max Verstappen chez Red Bull. C’est sûr. » Il y a peu, Juan Pablo Montoya affirmait que la fin était proche pour Max Verstappen chez Red Bull. Présent à Djeddah pour le Grand Prix d’Arabie Saoudite ce week-end, le quadruple champion du monde à répondu sans détour.
« Ce qui m’agace, c’est la voiture, pas l’équipe »
« Beaucoup parlent de mon avenir, mais pas moi. Je suis focalisé sur ma voiture, sur l’amélioration de notre performance. Bahreïn a été décevant, mais ce genre de week-end arrive. Je suis détendu, je veux juste tirer le meilleur de chaque course. Je suis heureux ici. Ce qui m’agace, c’est la voiture, pas l’équipe. On veut tous faire mieux, c’est normal. Je pense que nous avons eu de très bonnes discussions ces dernières semaines à propos de la voiture. Nous sommes tous sur la même longueur d'onde, nous essayons simplement d'améliorer la situation. Cela ne change rien », a lâché Verstappen, relayé par F1Only.
« Ils ont échangé, comme on peut le faire après un week-end difficile »
« Je ne pense pas aux rumeurs, je me contente de prendre les courses les unes après les autres. J'espère que Djeddah sera mieux que Bahreïn, si c'est un peu entre les deux avec Suzuka, ce sera mieux. Ils ont échangé, comme on peut le faire après un week-end difficile. Christian Horner les a rejoints, ils ont parlé tous ensemble. C’est sain pour une équipe qui veut avancer », conclut Max Verstappen, autour d’un possible clash entre son agent et Helmut Marko.