L’OM évoque deux cas très sensibles du mercato
Jules Kutos-Bertin -
Journaliste
Tout petit, je m’étais promis d’avoir un métier en accord avec le football. Très vite, j’ai pris conscience que mes pieds ne suffiraient pas pour m’emmener là où je le voulais alors le journalisme est devenu une évidence.

Très actif lors du dernier mercato hivernal, l’OM a fait venir trois joueurs offensifs : Ruslan Malinovskyi, Azzedine Ounahi et Vitinha. Présent en conférence de presse avant la rencontre face à Strasbourg, l’international ukrainien a parlé des débuts plus mitigés de ses deux jeunes coéquipiers.

C’est un OM ambitieux que l’on a vu sur le mercato d’hiver. 2Ème de Ligue 1, le club olympien était à cette époque toujours en lice en Coupe de France. Avec la grave blessure d’Amine Harit mais aussi les départs de Bamba Dieng et Gerson, Pablo Longoria s’est activé pour leur trouver des remplaçants. Et l’OM aura dû attendre jusqu’aux dernières heures du mercato pour obtenir ce qu’il souhaitait.

Débuts en demi-teinte pour Ounahi et Vitinha

Ruslan Malinovskyi, Azzedine Ounahi et Vitinha sont arrivés. Le premier s’est très vite imposé dans le onze de départ de l’OM mais la situation n’est pas la même pour les deux autres. Malgré des débuts fracassants, Azzedine Ounahi n’a eu qu’une fois sa chance en tant que titulaire. Et le Marocain n’a pas flambé. Vitinha, lui, n’a que des miettes. Toujours en quête de son premier but, le Portugais espère forcément avoir un peu plus de temps de jeu. 

«Ounahi et Vitinha sont aussi des jeunes qui doivent prouver»

Présent ce vendredi en conférence de presse, Ruslan Malinovskyi s’est confié sur l’intégration des deux autres recrues. « La question c'est plus pour le coach. Ounahi et Vitinha sont aussi des jeunes qui doivent prouver auprès de l'entraîneur. Il faut travailler. Pendant mes six mois avec l'Atalanta, j'ai travaillé pour être près afin de saisir les minutes que j'allais avoir. C'est important surtout que tout le monde ne peut pas jouer. Il faut avoir de la patience, cela viendra et il faut être prêt quand on aura besoin de nous », reconnaît l’international ukrainien. A l’OM et Igor Tudor de gérer cela au mieux...

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