Une recrue pourrait faire une victime XXL au FC Nantes
La rédaction

Andy Delort est arrivé cet hiver au FC Nantes en provenance de l'OGC Nice, en prêt avec une option d'achat obligatoire. L'ancien Caennais avait proposé ses services à l'Olympique de Marseille qui n'avait pas donné suite. Après des expériences réussies à Montpellier et Nice, Delort peine toutefois à s'adapter au contexte nantais, ce qui pourrait coûter la place à Antoine Kombouaré, son entraîneur qui avait fait le forcing pour le recruter. 

Deux mois après son arrivée sur les bords de la Loire, le bilan de Andy Delort avec le FC Nantes est très moyen, voire faible. Pourtant il était arrivé dans la peau du serial buteur, lui qui avait marqué 47 buts avec Montpellier et 25 avec Nice. Mais pour le moment, Delort ne compte que deux petits buts et peine à influer sur le jeu nantais. 

Recalé par l'OM...

Le feuilleton Delort avait commencé cet hiver, au moment de l'annonce de son départ de Nice. La rumeur Andy Delort avait pris de l'ampleur du côté de la Commanderie car l'OM se cherchait un élément offensif pour renforcer son attaque. Mais Pablo Longoria avait vite démenti cette rumeur. Andy Delort avait alors pris la direction du FC Nantes après la forcing de Antoine Kombouaré auprès de sa direction pour le recruter. 

... il joue l'avenir de Kombouaré

Lorsque Andy Delort était arrivé à Nantes, il devait essayer de combler le départ de Randal Kolo Muani, parti l'été dernier pour l'Eintracht Francfort. Il était attendu pour relancer Nantes, mal en point en Ligue 1 et toujours en course pour les barrages de la Ligue Europa, face à la Juventus. Sauf que Delort était forfait lors du match aller (1-1), et n'a joué qu'une mi-temps lors du match retour (0-3). Selon L'Équipe, Antoine Kombouaré jouerait son avenir sur ce dossier puisque son contrat prend fin en juin prochain. Et son entêtement à titulariser Delort plutôt que Mostafa Mohamed, voulu par Waldemar Kita, pourrait lui coûter cher si Delort ne redevient pas la machine à but qu'il était avant d'arriver à Nantes... 

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