Transfert planétaire au PSG, «c'est un bordel sans nom» !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Passé par Manchester United ou encore le Real Madrid, c'est sous le maillot du PSG que David Beckham a disputé ses derniers matchs. L'Anglais a ainsi évolué quelques mois à Paris avant de prendre sa retraite. C'est en janvier 2013 que Beckham s'est engagé avec le PSG, une arrivée dont se souvient bien Yann Guérin, ancien attaché de presse parisien.

Avec l'arrivée du Qatar, de nombreuses stars du football se sont succédées du côté du PSG. En janvier 2013, le club de la capitale réalise un transfert qui fait parler à travers le monde entier avec la signature de David Beckham. L'Anglais avait alors décidé de passer les derniers mois de sa carrière sous le maillot parisien. Aux côtés de Manchester United et le Real Madrid, le PSG figure donc sur le CV de Beckham.

« On doit tout organiser de manière hyper rapide »

Ancien attaché de presse du PSG, Yann Guérin a été impliqué dans cette arrivée de David Beckham à Paris. Il s'est d'ailleurs rappelé de ce moment, racontant pour RMC sur Twitch : « L’arrivée la plus marquante, ça reste Beckham. Il arrive très vite. On doit tout organiser de manière hyper rapide. On a la pression de ses dirigeants pour que ça soit diffusé dans le monde entier. Il faut du temps pour l’organiser. On a toute l’équipe com qui est sur le pont. Je pense que c’est la plus marquante ».

« Derrière la caméra, c’est un bordel sans nom »

Toujours à propos de l'arrivée de David Beckham au PSG, Yann Guérin a également fait savoir : « L’effervescence dans l’auditorium ? On n’avait pas du tout respecté les consignes de sécurité à mon avis. On était quasiment 400 journalistes, avec je ne sais pas combien de caméras. C’était hallucinant. Il y en avait dans tous les sens. Ce qui est marrant c’est qu’on voit le rendu hyper clean, tout le monde en costard et derrière la caméra, c’est un bordel sans nom. C’était une super expérience, très compliquée à gérer. Mais super expérience. L’homme était comment ? Incroyable. Un des plus pros et plus gentils que j’ai pu rencontrer dans ma carrière ».

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