«Jour de m*rde» au PSG, un fiasco monumental le fait paniquer
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Auteur d'un début de campagne européenne très compliqué, le PSG n'a pas arrangé les choses mercredi soir en s'inclinant contre l'Atlético de Madrid (2-1). Une situation qui place le club parisien dans une situation plus que délicate pour la suite de la Ligue des Champions. Luis Enrique confirme qu'il a vécu un «jour de m*rde».

La situation se complique sérieusement pour le PSG. Après avoir arraché une victoire contre Gérone (1-0), le club de la capitale s'est incliné sur la pelouse d'Arsenal (0-2) et a concédé le nul face au PSV Eindhoven (1-1). Par conséquent, la venue de l'Atlético de Madrid au Parc des Princes mercredi soir était très attendue, mais là encore, les Parisiens ont déçu et ont perdu (2-1). Désormais 25e du classement, alors que les 24 premiers sont qualifiés, le PSG a quatre matches pour inverser la tendance et Luis Enrique reconnait que les Parisiens sont en danger. « Sans aucun doute », s'inquiète même le coach du PSG.

«Il faut baisser le niveau d’énergie négative»

« Je ne parle jamais avec mes joueurs un soir de match. C’est intéressant, d’ailleurs, je le dis aux jeunes entraîneurs : je ne parle pas avec mes joueurs à la fin d’un match, car ça ne va rien arranger du tout. Rien ne marchera. Il faut baisser le niveau d’énergie négative. Chacun peut tirer les conclusions qu’il souhaite de son côté », lâche l'entraîneur du PSG en conférence de presse, avant de poursuivre.

«Aujourd’hui, c’était un jour de merde»

« Mais chaque personne qui a vu le match dira que ce résultat n’est pas juste. Il est même totalement injuste, oui. Le football est injuste, la vie aussi. Aujourd’hui, c’était un jour de merde. Demain, nous penserons aux choses qu’on peut améliorer. Il y en a bien sûr. Quatre finales arrivent. Il faudra les aborder de cette manière, sans aucun doute », ajoute Luis Enrique.

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