Joueur de l'OM lors de la saison 2016-2017, prêté alors par Swansea, Bafétimbi Gomis n'avait pas mis longtemps avant de s'imposer comme l'un des patrons du club phocéen. Rudi Garcia n'avait alors pas hésité à lui donner le brassard de capitaine. Avec Gomis, les murs du vestiaire ont tremblé à plusieurs reprises et l'ancien de l'OM a dévoilé dévoilé une anecdote où il a complètement disjoncté.
On le sait, à l'intérieur d'un vestiaire, il se passe souvent des scènes complètement folles. C'est notamment ce qui arrivé du côté de l'OM lors de la saison 2016-2017. Alors prêté par Swansea au sein du club phocéen, Bafétimbi Gomis avait complètement peté les plombs suite à une rencontre face à Angers. La raison ? Une nouvelle perte de balle de son coéquipier de l'époque à l'OM : Zinedine Machach. De quoi mettre Gomis hors de ses gonds, s'en prenant alors à celui qui a été formé du côté de Toulouse.
Mercato : Rabiot à l’OM, il hallucine en direct ! https://t.co/byXlN7uQ3N pic.twitter.com/pOuoYbcZ9J
— le10sport (@le10sport) September 23, 2024
« Il faisait le geste de trop »
Pour Carré, Bafétimbi Gomis a raconté ce moment où il a complètement perdu ses nerfs face à Zinedine Machach. L'ancuien buteur de l'OM a ainsi dévoilé : « A Marseille, l’anecdote c’est qu’avec Franck Passi, on s’entraînait bien, mais il donnait beaucoup de temps aux jeunes. Il croyait beaucoup en Machach. Il faisait des rentrées, il était bon, il avait un fort potentiel, mais il en faisait un peu trop. Il faisait le geste de trop, on perdait le ballon, but, C’est arrivé à Nice, c’est arrivé une autre fois ».
« Je cours, je l’attrape je l’étrangle »
« On arrive à Angers, à la dernière minute, il rentre, il perce, au poteau de corner au lieu de la donner, il perd le ballon. Contre-attaque, but. Là, j’en pouvais plus. Là je pète un câble, je casse la malle, je dis : « Il est où ce Machach ? ». Je cours, je l’attrape je l’étrangle. Je vois la sécurité de l’OM qui m’attrape. Ce n’est pas quelque chose dont je suis fier, mais c’est ce qui se passe dans les vestiaires », a expliqué Bafétimbi Gomis.