La vente de l'OM n'est pas d'actualité si l'on en croit les propos de Frank McCourt. Agacé par les rumeurs autour de son avenir, le propriétaire du club marseillais avait expliqué qu'il n'avait pas l'intention de partir. De toute façon, l'Arabie Saoudite serait en difficulté sur le plan financier, ce qui complique toute acquisition sur le marché.
Au fil du temps, les supporters de l’OM ont arrêté d'espérer. Aujourd’hui, la vente du club marseillais est devenue illusoire, un doux rêve partagé seulement par quelques journalistes comme Thibaud Vézirian. A chacun de ses lives Twitch, le journaliste évoque ce dossier et tient un discours qui tranche radicalement avec les derniers propos de Frank McCourt. De passage à Marseille il y a quelques semaines, l’Américain avait scellé son avenir en indiquant qu’il n’avait pas l’intention de quitter le navire.
Rabiot - OM : «Ridicule», il répond cash à une figure du PSG ! https://t.co/Dd2HCwY4od pic.twitter.com/NBTsaeNMym
— le10sport (@le10sport) September 29, 2024
Vézirian campe sur ses positions
Mais les propos de McCourt n’ont pas convaincu Vézirian. « Non, les feux de l’officialisation ne sont pas passés au rouge du tout. Mais hélas il y a toujours les aléas des affaires, des reports possibles et ça ce n’est pas faute de le dire dans chaque phrase. Même quand on dit que les sources sont confiantes, on demande de prendre du recul et de faire attention. Il y a toujours des gens qui sont très confiants et c’est pour cela que ces gens-là sont, comme moi, sûrs et certains de ce qu’il arrive à l’OM. J’ai toutes les certitudes…je ne suis pas là pour convaincre, ça vous fera une très belle surprise » a-t-il lâché.
Banqueroute pour les Saoudiens ?
L’Arabie Saoudite pourrait lui succéder. Le puissant état ferait partie d’un consortium international. Mais force est de constater qu’aucun mouvement notable n’a été enregistré. Surtout que l’Arabie Saoudite ne traverse pas la période la plus faste de son histoire. « On voit bien dans nos discussions avec les Saoudiens que les choses se compliquent. On avance moins vite, car l’argent se fait plus rare qu’il y a un an ou deux » a confié un dirigeant français au magazine Challenges. Un autre dirigeant d'une entreprise du CAC40 confirme : « Le royaume est à court de cash ». Pas le meilleur timing pour racheter un club de football.