F1 - Hamilton : Les «conneries» qui agacent Ferrari !
Pierrick Levallet

Au coeur de toute l’attention médiatique depuis son transfert chez Ferrari, Lewis Hamilton réalise pour l’instant un début de saison décevant. Le septuple champion du monde ne s’est pas encore adapté pleinement à sa nouvelle voiture. Mais au sein de la Scuderia, on se veut plutôt optimiste pour la suite avec le pilote de 40 ans.

Son transfert a été reçu comme un véritable séisme en F1. Après plus de dix ans chez Mercedes, Lewis Hamilton a changé d’équipe et a rejoint Ferrari. Mais alors qu’il est au centre de toute l’attention médiatique depuis janvier, le pilote de 40 ans réalise un début de saison décevant pour l’instant. 7e en Arabie Saoudite, Lewis Hamilton pointe à la même place au classement général de la F1. Mais au sein de la Scuderia, on est à fond derrière le septuple champion du monde. Et Frédéric Vasseur l’a bien fait savoir.

«Ce sont des conneries»

« Je serai à 2000 % derrière lui. Je le soutiendrai et nous commencerons dès demain matin à essayer de trouver des solutions et des raisons et à y travailler tôt dans la matinée. Mais honnêtement, je ne suis pas trop inquiet. Si vous regardez ce qu’il a fait en Chine ou ce qu’il a fait lors de la course de Bahreïn la semaine dernière ou même lors de la première partie de la séance de ce week-end, le potentiel est là, c’est certain. Nous devons juste ajuster l’équilibre parce que nous sommes, collectivement, Lewis et nous, en train de nous battre avec l’équilibre de sa voiture et la façon dont il travaille les pneus. C’est une sorte de point négatif mais je pense que le potentiel de la voiture est là et nous allons essayer de le résoudre » a d’abord lancé le patron de Ferrari dans des propos rapportés par NextGen-Auto.

«Il y a des hauts et des bas»

« Ce n’est pas dramatique. Nous avons fait cinq courses jusqu’à présent. Je sais que vous voulez faire les gros titres demain en disant ’Fred a dit ceci’. Mais ce sont des conneries. En fin de compte, nous sommes en compétition. Il y a des hauts et des bas. Lorsque nous avons des hauts, nous ne sommes pas champions du monde, et lorsque nous avons des bas, nous ne sommes pas nulle part. C’est juste une compétition » a ensuite ajouté Frédéric Vasseur. Le message est passé.

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