Mercato : Payet, Guendouzi… L’OM se fait tacler !
Guillaume de Saint Sauveur -
Journaliste
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.

En décidant de se séparer notamment de Dimitri Payet, Mattéo Guendouzi ou encore Alexis Sanchez l'été dernier, l'OM avait complètement bouleversé son effectif avec un mercato estival très agité. Et Eric Di Meco, ancienne figure emblématique du club phocéen, ne comprend pas la politique mise en place par Pablo Longoria et critique le recrutement de l'OM. 

C'est un fait, l'OM peine à trouver de la stabilité dans son effectif depuis maintenant plusieurs années, et le dernier mercato estival n'a pas échappé à la règle. En effet, plusieurs joueurs majeurs tels que DimitriPayet, MattéoGuendouzi ou encore AlexisSanchez n'ont pas été conservés par le président PabloLongoria. Une stratégie qui n'a pas vraiment été payante sur le plan sportif, puisque l'OM pointe actuellement à la 8e place de Ligue 1. Et les observateurs ne s'y trompent pas... 

Di Meco se lâche sur l'OM

Au micro de RMC Sport, Eric Di Meco a sèchement taclé la direction de l'OM sur son mercato, pointant notamment du doigt les départs de Payet et Guendouzi : « Le recrutement estival et hivernal ont été ratés, les choix qui ont été faits sur l’effectif ne sont pas équilibrés, tu as éliminé des joueurs importants pour le vestiaire. A un moment donné tu le payes. Mandanda, Payet, Guendouzi,… Tu t’es coupé de tout ce qui faisait l’ADN de ton club. Même Sanchez ! Il n’était pas là depuis longtemps mais quand tu réussis des coups, il faut les garder, car si tu te débarrasses même des coups réussis », indique l'ancien défenseur de l'OM

« Tu t'es trompé »

Il poursuit à ce sujet : « Là cette année tu t’es malheureusement trompé sur une grande majorité de l’effectif. Et puis en plus il n’y a pas d’équilibre dans cet effectif-là (…) Il faut donner une médaille au public qui remplit le stade à chaque match parce que cette année il n’y a rien », estime Di Meco. Le message est passé... 

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