F1 : Esteban Ocon, le coup de foudre avec une star du cinéma
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Star du cinéma français, Alban Lenoir sera à l'affiche du troisième volet de « Balle perdue », diffusé à partir du 7 mai sur Netflix. En pleine promotion, il a fait un détour sur le plateau de beIN SPORTS pour évoquer, notamment, son amitié avec le pilote de Formule 1 Esteban Ocon, qui devrait disputer le Grand Prix du Bahreïn ce dimanche.

Esteban Ocon est l’un des trois français à disputer cette saison de Formule 1. Mais tout n’a pas été facile pour le pilote, qui a dû surmonter de nombreux obstacles pour arriver au sommet. Ce parcours semé d’embûches a séduit Alban Lenoir, qui s’est tout de suite lié d’amitié avec Ocon. Invité de Claire Arnoux sur beIN SPORTS ce mercredi, l’acteur est revenu sur ce coup de foudre amical.

Lenoir raconte son lien avec Ocon

« J’avais envie de découvrir le sport automobile. En plus avec « Balle Perdue », ça m’a donné envie et obliger de me lancer dedans. En plus j’ai eu la chance de devenir ami avec Esteban Ocon grâce en partie à ce film. Il s’est passé un truc avec lui, je l’adore, j’adore sa famille. On est devenu très proche. Il m’a donné plein de tips. Il m’a même amené faire des stages à droite, à gauche en Europe. Donc ça m’a permis de me perfectionner à un haut niveau » a confié Alban Lenoir.

« On en a chié tous les deux »

Comme Ocon, l’acteur est passé par des moments difficiles avant de connaître la notoriété et la reconnaissance de ses pairs. « Pour parler simplement, on en a chié tous les deux. On n’est pas né avec une cuillère en argent. On a du faire nos preuves tout seul, on n’a pas eu de bourse. Je sais que son père a dû hypothéquer la maison à un moment donné pour qu’il continue sa passion. Ma mère a aussi tout donné quand je suis monté avec mon sac à dos à Paris pour m’aider comme elle le pouvait » a confié Lenoir.

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