Au cours des dernières années, la Formule 1 énormément gagné en popularité. Une explosion qui faut notamment mettre à l’actif à la série de Netflix, Drive to Survive. Depuis celle-ci, les pilotes ont pu assister à une véritable révolution autour de leur sport. Esteban Ocon a d’ailleurs été aux premières loges de celle-ci et aujourd’hui, le pilote Haas se sent désormais comme une rock star.
Il y a quelques jours de cela maintenant, Netflix a sorti sa nouvelle saison de Drive to Survive. Chaque année, la série est très attendue par les fans de Formule 1 afin de découvrir les coulisses de la saison précédente. C’est désormais un carton et cette série a d’ailleurs permis à la Formule 1 d'avoir un regain de popularité et de gagner de nouveaux suiveurs. Forcément, cela s’est ressenti sur les pilotes qui ont vu leur cote de popularité grimper en flèche également.
« On se sent comme une rock star »
Esteban Ocon a d’ailleurs vu de près ce changement radical en Formule 1 grâce à la série de Netflix. Une révolution à propos de laquelle le désormais pilote Haas a confié pour GQ : « Quand je suis arrivé en Formule 1 en 2016, je me rappelle des trous dans les gradins à Austin. Le premier virage n’était pas complet, décrit-il. Le sport n’a jamais autant fonctionné que maintenant, et vivre ça en tant que pilote c’est très spécial. C’est un truc de dingue d’arriver sur le Fan Forum et de voir une foule de 80 000 personnes à perte de vue. On se sent comme une rock star ».
« Ça met en lumière le sport que j’ai toujours aimé »
Néanmoins, cette popularité a également son côté négatif avec son lot de détracteurs. Là encore, Esteban Ocon en a fait les frais avec de nombreuses critiques à son encontre. Et à ce propos, le Français a expliqué : « Il y a toujours des informations déformées ou prises hors contexte qui vont sortir et des gens qui ne comprennent pas tout et ont la critique facile. Mais pour en revenir à Netflix, ça ne peut pas être une mauvaise pub d’être dans cette série car ça met en lumière le sport que j’ai toujours aimé, même si c’est devenu plus un business qu’un sport ».