Mercato : Le PSG est déjà interpellé pour l'avenir de Luis Enrique
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Après une saison poussive, le PSG a décidé de se séparer de Christophe Galtier afin de nommer Luis Enrique sur son banc de touche. Le technicien espagnol est arrivé avec ses méthodes et un projet de jeu résolument offensif qui fait beaucoup parler. Mais pour Samir Nasri, le PSG a fait le bon choix et doit continuer sur cette voie.

Comme chaque saison, le PSG sera essentiellement jugé sur ses résultats en Ligue des champions. C'est la raison pour laquelle le club de la capitale a décidé de recruter un coach qui a déjà remporté cette compétition à savoir Luis Enrique. Un choix d'ailleurs validé par Samir Nasri qui espère que le PSG lui donnera du temps, contrairement à ce qui a été fait avec ses prédécesseurs, et quoi qu'il arrive cette saison.

Nasri valide l'arrivée de Luis Enrique au PSG

« Malgré ses relations avec la presse, on voit bien que quelque chose se passe. Son équipe a un raisonnement plus collectif, elle est plus travailleuse. Enrique, il a des références, il a gagné la Ligue des champions, entraîné Neymar, Messi, Suárez… Quand il parle, tu l’écoutes », assure l'ancien joueur de l'OM dans les colonnes du JDD.

«Même si le PSG ne gagne pas la Ligue des champions cette année, il faut lui faire confiance»

« Même si le PSG ne gagne pas la Ligue des champions cette année, il faut lui faire confiance. Pour moi, il manque encore un joueur créatif au milieu. Le 4-2-4, ça va fonctionner sur certains matchs, mais à City, je pense que tu te fais "trouer". Ce système a ses limites. Et je trouve l’effectif un peu "short", un peu tendre. Zaïre-Emery, 17 ans, titulaire au milieu de terrain est un très, très bon joueur, mais, sur le banc, il faudrait des doublures qui permettent de ne pas sentir la différence », ajoute Samir Nasri.

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