Fiasco sur le mercato, il défend l’OM
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.

Recruté par l’OM durant le mercato hivernal pour 32M€, Vitinha est donc devenu le renfort le plus onéreux de l’histoire du club phocéen. Son début d’aventure en Ligue 1 prend des allures de fiasco, et pourtant, Daniel Riolo défend la gestion d’Igor Tudor sur cet épineux cas et comprend le temps de jeu limité de Vitinha.

Après son échec avec Terem Moffi qui avait privilégié l’OGC Nice depuis le départ, l’OM avait donc changé son fusil d’épaule cet hiver pour finalement jeter son dévolu sur Vitinha. Le buteur portugais à signé pour 32M€, transfert record pour l’OM, et il était donc à ce titre attendu comme un renfort de tout premier choix, mais son aventure est en train de virer au fiasco puisque Vitinha n’est utilisé qu’en simple doublure de luxe et n’a toujours pas marqué sous ses nouvelles couleurs.

Riolo défend Tudor

Au micro de l’After Foot sur RMC Sport, Daniel Riolo a pourtant expliqué les raisons pour lesquelles il comprenait la gestion d’Igor Tudor avec Vitinha : « Le jeu est nettement moins bon, mais si je suis à la place de Tudor je ne suis pas sûr que je change quoi que ce soit. Je garde l’équipe qui m’a rapporté le plus de point », explique l’éditorialiste.

« Il n’apporte rien à l’OM »

Riolo poursuit sur le recrutement de Vitinha à l’OM : « Il y a un mec qui a été recruté à 32M et qui n’apporte rien à l’OM. Ça c’est l’une des questions qu’on peut se poser si ce n’est la seule. Le fait que Longoria ait dit qu’il a été recruté pour la saison prochaine ? Et bien dans ce cas-là, n’en parlons pas. Mais je vous répète, je vous mets tous sur le banc de l’OM avec le parcours qui a été fait. En février ça bat le PSG, à six points du PSG l’équipe tourne, elle enthousiasme énormément de gens. Est-ce que tu changes l’équipe ? Personnellement, je ne le fais pas. Je continue avec les mecs et je regarde ce que l’autre donne à l’entraînement. Si l’autre à l’entraînement me crève les yeux, je réfléchis, s’il ne me crève pas les yeux, je fais ce que le patron a dit et ok on bossera l’année prochaine ensemble. On ne peut pas oublier ce qui a été fait ». Le message est passé.

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