L’été dernier, le PSG n’a pas hésité à complètement bouleverser sa manière de fonctionner. Au-delà d’un recrutement revisité, Paris a également décidé de miser sur un entraîneur confirmé en la personne de Luis Enrique. Et si le technicien espagnol a drastiquement modifié la mentalité de son effectif, Daniel Riolo valide ce nouveau visage des Rouge et Bleu.
Le PSG ne ressemble en rien à l’équipe friable entrevue sur les saisons précédentes. Quelque chose a clairement changé au sein du club de la capitale cette saison, alors que les dirigeants parisiens ont décidé de tout modifier l’été dernier. Se voulant désormais davantage patient à la fois en termes de recrutement mais également vis à vis des résultats, le PSG réussit une saison grandiose, avec Luis Enrique à sa tête.
PSG : Luis Enrique a tout prévu pour le grand choc ! https://t.co/3N1JPuyRnN pic.twitter.com/x3eL1yVbum
— le10sport (@le10sport) May 1, 2024
« On avait le sentiment que tout ne reposait que sur une ou deux stars »
L’un des grands axes de réussite de l’Espagnol pour sa première saison en France repose sur l’état d’esprit collectif affiché par le PSG. Les Rouge et Bleu ne dépendent plus de certaines individualités pour obtenir un résultat, mais bien d’une équipe au complet. Présent dans l’émission « Apolline Matin » ce mercredi, Daniel Riolo s’est livré sur ce nouveau visage parisien : « Les deux dernières années ont été dures pour les supporters du PSG. On avait le sentiment que tout ne reposait que sur une ou deux stars, qu’il n’y avait pas d’équipe, et qu’aller au-delà des huitièmes de finale, c’était devenu un exploit », a notamment déclaré l’éditorialiste.
« Cette force collective qui s’est mise en œuvre »
« Parce qu’il y avait cette force de l’habitude de prendre le coup derrière la tête au moment des huitièmes, qu’il y aurait une décision d’arbitre ou un mental défaillant, qu’il y aurait toujours quelque chose qui n’irait pas. Cette année, ça n’a pas été toujours facile dans la phase de poules, mais derrière, il y a eu cette qualification contre le Barça. Cette force collective qui s’est mise en œuvre », conclut Riolo.