PSG : Il répond aux attaques sur son transfert !
Guillaume de Saint Sauveur -
Journaliste
Diplômé d’Ecole de Journalisme à Paris. Spécialisé football, et plus particulièrement sur le mercato. Fan du PSG et du Stade Français.

Pur produit issu du centre de formation du PSG, Arnaud Kalimuendo avait décidé de quitter le club de la capitale en 2022 à cause de son statut d'éternel remplaçant et avait donc opté pour Rennes avec un transfert avoisinant les 25M€. Copieusement sifflé par le public du Parc des Princes vendredi soir, le buteur français a répondu aux supporters du PSG.

Malgré son penalty inscrit vendredi soir au Parc des Princes face au PSG, Arnaud Kalimuendo (22 ans) n'a pu empêcher la défaite du Stade Rennais (3-1). Un retour aux sources pour l'international espoirs français, lui qui est issu du centre de formation du club parisien. Kalimuendo a d'ailleurs été pris en grippe par les supporters du PSG au moment de frapper les penalties, certains lui en voulant des circonstances dans lesquelles il avait décidé d'être transféré à Rennes en 2022, lui qui venait de vivre deux saisons consécutives en prêt au RC Lens.

« Beaucoup de difficultés »

Interrogé en zone mixte après la rencontre, Kalimuendo a d'abord analysé la prestation du Stade Rennais face au PSG : « Paris nous a posé beaucoup de difficultés, mais on a tout donné, jusqu’au bout. Après le pénalty, nous avons montré de belles choses. Cela nous a remis en confiance. Paris mène 1 à 0 à la mi-temps, même si les stats ne sont pas franches. Mais on sent qu’il est au-dessus de nous. Contre cette équipe, il faut être bon dans les petits détails. Ce que nous n’avons pas été », lâche le buteur breton, avant de répondre aux sifflets du Parc des Princes à son égard.

« J’ai passé de très belles années ici »

Arnaud Kalimuendo, qui n'affiche aucune animosité envers les supporters du PSG, évoque même ses années passées au club avant son transfert pour Rennes : « Les hostilités du Parc ? Je comprends le climat, je n’en veux pas du tout au public, j’ai passé de très belles années ici », explique-t-il. Sans rancune, donc...

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