OM : De Zerbi a claqué la porte, «ce n’est pas facile»
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

En mai dernier, Roberto de Zerbi quittait Brighton. Un départ qui n'a pas été facile à digérer, malgré son arrivée à l'OM quelques semaines plus tard. En conférence de presse ce vendredi, le technicien italien a évoqué ce qui le motive à s'engager avec une équipe plutôt qu'une autre. Selon lui, tout est une question de feeling.

Avec Roberto de Zerbi, tout est une question de feeling, de connexion. Arrivé à l’OM l’été dernier, le technicien italien dispose d’une grande marge de manœuvre à Marseille ce qui lui permet de construire un groupe à son image. Une liberté qu’il avait partiellement à Brighton, club qu’il a quitté l’été dernier.

« Ce n'est jamais facile de partir »

« J'ai besoin de sentir une connexion avec l'endroit où je travaille, sinon j'ai du mal à m'exprimer. Travailler sans y mettre le cœur, sans m'impliquer émotivement, je ne veux pas le faire, je n'ai pas envie de ça. J'ai besoin de relations avec les personnes autour de moi, j'ai eu ça à Brighton avec les joueurs et les supporters. Ce n'est jamais facile de partir » a confié le coach de l’OM en conférence de presse.

De Zerbi se sent comme chez lui

A Marseille, les éléments sont réunis pour lui permettre de performer. « Je suis venu ici parce que c'est ce que je cherchais. Je voulais un environnement qui me fasse rêver et qui me donne la chair de poule. La ville, le club, c'est très semblable à moi-même. Mes joueurs me ressemblent, ce qu'ils disent, la plupart du temps, c'est ce que je pourrais dire moi aussi. Ce n'est plus un travail. Le jour du match, tu as hâte que ça commence. Je ne compte pas mes heures, mais je veux voir ce que je peux offrir aux gens qui viennent au stade. C'est la magie du football. Une des seuls métier qui te permet de donner autant à des personnes que tu ne connais pas » a lâché De Zerbi ce vendredi.

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