Dimanche soir, l’OM et l’OGC Nice se sont affrontés en clôture de la 19ème journée de Ligue 1. Les Niçois se sont imposés 2-0, mais la rencontre a surtout été marquée par de nouveaux chants à caractère sexiste et homophobe. Dans l’After Foot, Daniel Riolo a poussé un coup de gueule sur le sujet, en prenant notamment l’exemple du PSG. Explications.
Pour la 19ème journée de Ligue 1, c’est l’OGC Nice qui avait l’honneur de clôturer la marche avec la réception de l’OM. Les Niçois n’ont pas déçu leur public, car ils se sont imposés 2-0, grâce à des réalisations d’Evann Guessand et de Mohamed-Ali Cho. Mais le spectacle sportif a malheureusement été terni par des évènements qui se sont déroulés en tribune et qui sont malheureusement trop fréquents.
Kvaratskhelia déjà en quête d'un nouveau défi à l'étranger après un transfert record. Que cache cette soudaine envie ? 👀
— le10sport (@le10sport) January 27, 2025
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Des chants homophobes et sexistes entendus
Si les joueurs de l’OGC Nice se sont fait remarquer positivement sur la pelouse, les supporters du club azuréen se sont eux fait remarquer négativement en tribune. Lors de la rencontre face à l’OM, des chants homophobes et sexistes ont été entendus, ce qui a poussé l’arbitre de la rencontre, M. Watelier, à interrompre le match quelques instants à la 24ème minute.
« Si c'est au Parc des princes... »
Après la rencontre, lors de l’After Foot, Daniel Riolo est revenu sur cette nouvelle polémique. Le journaliste a déploré le fait qu’il y ait deux poids, deux mesures et, selon lui, si cela avait eu lieu au Parc des princes, l’antre du PSG, on en aurait beaucoup plus parlé. « À un moment, j'entendais les chants et je me suis dit qu'heureusement on n'était pas au Parc des princes... Il y a eu un message de passé. Si c'est au Parc des princes, demain ça fait les chaînes infos et limite le 20h. Là, on n’en reparlera pas demain. Si c'est au PSG, il y a le ministre qui parle, dans n'importe quelle émission où un ministre passe pour parler d'autre chose, on va lui parler de ça et il va réagir. C'est toujours la même histoire quand c'est au Parc des princes. Là personne n'en parlera. »