Nelson Monfort : France Télévisions dit stop !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Nelson Monfort, qui assurait depuis de nombreuses années les interviews à Roland-Garros pour France Télévisions, ne sera pas remplacé sur le Grand Chelem parisien suite à son départ en 2024. Laurent Luyat a confirmé dans un entretien au Buzz TV que personne ne prendra spécifiquement sa place, justifiant cette décision.

C’est une question restée sans réponse depuis près d’un an, qui va donc remplacer Nelson Monfort lors de la prochaine édition de Roland-Garros (25 mai au 08 juin) ? L’emblématique journaliste de France Télévisions, qui assurait notamment les interviews des joueurs lors du Grand Chelem parisien, a quitté le service des sports de France Télévisions à la fin de l’année 2024, ayant atteint l’âge de la retraite sur le service public.

Plus de journaliste au bord du court

Invité du Buzz TV, Laurent Luyat a justement été interrogé sur l’identité du successeur de Nelson Monfort. « Je pense personne », a révélé le journaliste de France Télévisions, à l’antenne chaque jour pour Roland-Garros. « On aura Olivia Leray qui se baladait dans les allées, qui fera aussi des interviews à la sortie des courts, mais c’est vrai que sur le court central ou le court Suzanne-Lenglen, on gardait les interviews sur le court depuis quelques années, elles sont faites par un champion avec toutes les réactions du public quand l’athlète parle. »

« Nelson est irremplaçable »

« C’est vrai que Nelson en faisait de moins en moins en fait, donc il ne sera pas véritablement remplacé, et Nelson est irremplaçable », a confié Laurent Luyat. Nelson Monfort n’aura donc pas de successeur à proprement parlé à l’antenne de France Télévisions, au moins pour le tennis.

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