Encore éliminé de la Ligue des Champions dès les huitièmes de finale, le PSG doit trouver des coupables. Nasser Al-Khelaïfi, le président du club de la capitale, est pointé du doigt pour ses choix. En réalité, il n’a pas toujours le monopole sur les décisions, Doha a souvent le contrôle. Notamment pour la prolongation de Kylian Mbappé et la nomination de Luis Campos.
Comme l’année dernière contre le Real Madrid, le PSG vient de sortir de la Ligue des Champions dès les huitièmes de finale. Cette fois-ci, Paris, muet lors de la double confrontation, n’aura presque pas été en mesure d’inquiéter le Bayern Munich, vainqueur tranquille lors des deux rencontres. Le PSG sort de la compétition et l’heure est venue de trouver des coupables. Nasser Al-Khelaïfi, le président du PSG, en fait forcément partie.
Nasser Al-Khelaïfi en première ligne
Même s’il est resté discret depuis l’élimination parisienne, Nasser Al-Khelaïfi a forcément été atteint par ce nouvel échec. Ses choix sont critiqués, ce qui est logique puisque depuis quelques années, le PSG ne semble pas progresser. Pire, on a même l’impression que Paris régresse, en témoigne les difficultés en championnat. Cependant, Nasser Al-Khelaïfi n’est pas le seul coupable, il est même bien souvent dirigé par des décisions venues de Doha.
Catastrophe au PSG, Mbappé lâche une bombe au Real Madrid https://t.co/ewSMgoQE9n pic.twitter.com/g8VOBOHO8Y
— le10sport (@le10sport) March 10, 2023
Doha a souvent le monopole sur les décisions
Comme le révèle le journal L’Équipe, le président du PSG n’a pas toujours eu la main sur les décisions prises par le club de la capitale. Se séparer de Laurent Blanc, nommer Thomas Tuchel ou encore faire revenir Leonardo, ce n’était pas Nasser Al-Khelaïfi à l’origine de ces mouvements. Pareil pour la nomination de Luis Campos qui était l’une des conditions pour la prolongation de Kylian Mbappé. En bref, le PSG a différents leaders et visiblement, les décisions prises ne sont pas toujours partagées. Et pas toujours judicieuses...