OM - Arabie Saoudite : Le deal capote, c'est terminé !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Malgré la volonté de l'OM de se séparer de lui, Chancel Mbemba resterait ferme sur sa décision de ne pas partir cet hiver. Alors que des clubs des Émirats Arabes Unis et d'Arabie Saoudite auraient manifesté leur intérêt, le défenseur congolais semble privilégier un départ libre à la fin de la saison, compliquant ainsi les plans marseillais.

Poussé vers la sortie par l’OM l’été dernier, à l’instar de Samuel Gigot, Jordan Veretout ou encore Pau Lopez, Chancel Mbemba n’a pas plié bagage à l’inverse des joueurs cités précédemment. Sa situation s’est alors dégradée jusqu’à atteindre un point de non-retour dans la cité phocéenne, avec notamment deux mises à pied. Alors que Chancel Mbemba reste sous contrat jusqu’au terme de la saison, l’OM espère lui trouver une porte de sortie en ce mois de janvier, mais le défenseur camperait sur sa position.

Vers un départ libre pour Mbemba

Chancel Mbemba n’a pas l’intention de faciliter les affaires du club phocéen. D’après La Minute OM, l’international congolais est courtisé par Al-Wasl (Émirats arabes Unis) ou encore Al-Fateh (Arabie saoudite) mais n’envisage pas de bouger durant ce mercato hivernal. Ainsi, le compte spécialisé dans l’actualité de la formation marseillaise indique que Mbemba devrait partir libre au terme de la saison.

« Chacun regarde ses intérêts »

Interrogé en novembre par Canal+ Afrique, Chancel Mbemba avait pourtant ouvert la porte à un départ en cours de saison : « Moi, je travaille. Quand le club pense à moi, gloire à Dieu. Quand le club ne pense pas à moi, la vie continue. Mais on ne va pas baisser la tête, on va rester concentré et continuer à travailler […] J’ai un contrat avec Marseille. J’espère (partir) en janvier, quand Dieu le veut. Mais quand Dieu ne décide pas… Ce sont les humains. Les humains sont compliqués, chacun regarde ses intérêts. Mais le plus important, c’est de faire notre boulot pour satisfaire tout le monde. »

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