Joueur de l’OM de 1998 à 2000, Robert Pirès a par la suite pris la direction d’Arsenal. De l’autre côté de la Manche, le champion du monde français a explosé avec les Gunners. Mais voilà que ça aurait pu se passer différemment si Pirès avait plutôt décidé de filer au Real Madrid plutôt qu’à Londres. De quoi lui donner quelques regrets aujourd’hui ?
Pendant 6 saisons, Robert Pirès a fait les beaux jours d’Arsenal. En Premier League, le champion du monde 98 s’impose comme l’un des meilleurs joueurs du championnat, donnant alors raison à Arsène Wenger de l’avoir recruté. C’est en 2000 que le club londonien va chercher Pirès alors que l’entraîneur français le voulait déjà quelques années auparavant quand il était sur le banc de l’AS Monaco. L’union a finalement eu lieu à Arsenal, club que Robert Pirès a rejoint en provenance de l’OM alors que d’autres options prestigieuses s’offraient pourtant à lui durant ce mercato de l’été 2000.
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« J’ai soit le Real Madrid, soit la Juventus, soit Arsenal »
Après deux saisons à l’OM, Robert Pirès avait l’embarras du choix. S’il a choisi Arsenal, il aurait pu filer au Real Madrid. Ça ne s’est pas fait et ça lui donne aujourd’hui quelques regrets. En effet, interrogé par Mehdi Maïzi sur Youtube, Pirès a expliqué : « Un club où je me serais bien vu jouer ? Le Real Madrid. J’étais fan du Real Madrid. En 2000, pour faire rapide, j’ai un choix très compliqué, j’ai soit le Real Madrid, soit la Juventus, soit Arsenal. Mais je n’y vais pas car je n’ai pas le contact avec l’entraîneur alors qu’avec Arsenal, j’ai Arsène Wenger qui m’appelle ».
« Le feeling que j’ai eu avec Arsenal, je ne l’ai pas eu avec le Real Madrid »
« Wenger me veut depuis que je suis à Metz. Après il y a Thierry Henry, Patrick Vieira, il y a eu Nicolas Anelka. Eux me disent que le plus grand bien du club. C’est pour ça que je pars à Arsenal. Parce qu’on m’a dit une fois que je n’avais pas les cojones d’aller jouer au Real Madrid. Non, le feeling que j’ai eu avec Arsenal, je ne l’ai pas eu avec le Real Madrid. Et puis honnêtement, je me suis régalé », a poursuivi Robert Pirès.