Le 16 août dernier, le PSG perdait Gonçalo Ramos sur blessure. Victime d’une fracture de la cheville gauche, l’avant-centre portugais sera indisponible pendant trois mois. En interne, la question du recrutement d’un nouveau numéro 9 s’est forcément posée. Les décideurs parisiens et notamment Luis Enrique ont décidé de ne pas bouger à ce poste, quitte à prendre un risque. Explication.
Le mercato estival du PSG est terminé. Ayant dépensé environ 175M€ sur le marché, le club parisien s’est bien renforcé avec les arrivées de Matvey Safonov, de João Neves, de Willian Pacho, et de Désiré Doué. Ainsi, les dirigeants franciliens ont pratiquement réussi à attirer de nouveaux éléments à chaque ligne. Cependant, alors que beaucoup de rumeurs évoquaient la possibilité d’arrivée d’un nouvel avant-centre, le PSG n’a pas bougé sur cette position, et ce malgré la blessure importante de Gonçalo Ramos.
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— le10sport (@le10sport) August 31, 2024
Le PSG a dû trancher après la blessure de Gonçalo Ramos
Le 16 août dernier, lors du premier match de la saison, l’attaquant portugais s’est blessé. Victime d’une fracture de la cheville, le numéro 9 du PSG a rapidement été opéré, et sera indisponible pour les trois prochains mois. Comme révélé en exclusivité par le10sport.com, si le nom de Victor Osimhen est revenu avec insistance cet été, Paris a rapidement envisagé de ne pas recruter le Nigérian, et n’a jamais négocié pour sa venue cet été. Même si, comme le révèle l’Equipe, après la blessure de Gonçalo Ramos, l’état-major parisien s’est tout de même poser la question de la venue d’un nouveau buteur cet été…
Luis Enrique prêt à prendre des risques en attaque
Mais Luis Enrique a rapidement écarté la possible venue de l’avant-centre de Naples. Ainsi, pour le moment, le coach du PSG ne bénéficie que d’une solution en attaque, avec Randal Kolo Muani. Mais comme le souligne le quotidien sportif, cela ne dérange pas le technicien espagnol, prêt à prendre des risques à ce poste, notamment en faisant passer son animation offensive par le collectif et non par l’individuel.