Mercato : Il signe au PSG et se lâche totalement
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Arrivé cet été pour remplacer Keylor Navas en tant que doublure de Gianluigi Donnarumma, Matvey Safonov découvre la vie parisienne avec son lot de surprises. Mis à part quelques soucis avec la nourriture, l'ancien portier du Krasnodar a connu une intégration optimale au PSG. Présent avec la sélection russe, il en a dit plus sur son adaptation.

Un joueur russe au PSG, c’est assez rare pour le souligner. Signé cet été pour épauler Gianluigi Donnarumma dans les cages, Matvey Safonov succède à Igor Yanovski et Sergueï Semak. Formé au Krasnodar, il découvre un nouveau pays, une nouvelle culture, mais aussi un nouveau club. Autant de changements qu’il faut digérer. Mais Safonov semble plutôt à l’aise au sein du PSG.

Safonov se lâche sur son arrivée

Actuellement en Asie avec sa sélection nationale, Safonov a eu l'occasion de se prononcer sur son arrivée au PSG et sur ses premiers pas au sein de la capitale française. « Eh bien, je pense que je me suis déjà bien adapté, en termes de confort. Je sais beaucoup de choses, je sais tout ce dont j'ai besoin, par exemple, si quelque chose arrive, je sais ce que je dois faire. Par conséquent, je pense que la majeure partie de l'adaptation est passée, mais elle sera terminée à 100% lorsque je commencerai à parler français calmement » a confié Safonov.

Safonov prend ses marques

Mais le gardien admet qu’il rencontre quelques soucis au niveau de la nourriture. « Eh bien, j'attends qu'ils nous donnent du bortsch pendant que nous vivons ici. Le bortsch est mon plat préféré, et c'était difficile de s'en passer, mais j'ai trouvé des endroits à Paris où l'on cuisine des plats russes, et j'y suis allé plusieurs fois lorsque les choses devenaient vraiment difficiles. J’attends donc avec impatience le bortsch, mais en général, la cuisine ne me manque pas trop » a-t-il lâché dans des propos rapportés par Championat.

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