Il vide son sac après avoir été viré par l’OM !
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

Star au Brésil, Dimitri Payet a réussi à se relever après une fin d'aventure tumultueuse avec l'OM. Lors d'un entretien accordé à la presse sud-américaine, le joueur français de 37 ans est revenu sur son calvaire après son départ forcé de Marseille et sur son choix de signer à Vasco de Gama.

Dimitri Payet n'a rien pu faire face à la volonté de Pablo Longoria. Le joueur a été contraint de quitter l'OM à la fin de la saison dernière. Le dirigeant espagnol souhaitait tourner la page et se séparer de ce cadre, à qui il restait encore un an de contrat. Lors d'un entretien accordé à Globoesporte,Payet est revenu sur ce départ surprise de l'OM et les difficultés qui ont suivi ce départ.

Payet amer après son départ

« Ce jour-là, ça a été le début du processus de ma guérison. Quand je suis arrivé, je n’étais pas au mieux dans la tête après ce qu’il s’était passé avec Marseille. Je pense que c’est Vasco et ses supporters qui m’ont guéri et m’ont relevé, car j’étais au sol. C’est la première fois qu’on me donne autant d’amour sans que j’ai rien fait pour l’avoir.  Au début, c’était difficile parce qu’il y a eu un long moment entre le moment où j’ai cessé de jouer à Marseille et le moment où j’ai repris avec Vasco » a lâché Payet.

« Ce n'est pas une aventure, mais un défi »

Après avoir repris ses esprits, Payet s'est engagé avec Vasco de Gama. « Ce n'est pas une aventure, mais un défi. J'aurais peut-être pu aller ailleurs pour d'autres raisons, mais je suis passionné de football et quand on est passionné de football, on a envie de jouer pour des clubs comme celui-ci, avec des supporters comme celui-ci, dans un pays comme celui-ci. C'est plus qu'un défi quand ils vous appellent et vous disent : « Nous avons neuf points et nous voulons nous sauver » » a expliqué le Français.

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