Si le PSG a finalement bouclé le transfert de Gonçalo Ramos (Benfica Lisbonne), une autre piste était clairement étudiée par Luis Campos : Harry Kane. Des négociations ont même été menées avec la famille du joueur mais Paris a vite stoppé pour se tourner vers l’attaquant portugais. Voici pourquoi.
Le PSG voulait faire un attaquant cet été. Un buteur capable d’occuper le front de l’attaque et d’être le point d’ancrage qui a manqué aux Parisiens ces derniers mois. Pour cela, Luis Campos a bouclé l’arrivée de Gonçalo Ramos, attaquant en pleine ascension du côté du Benfica Lisbonne. Un prêt assorti d’une option d’achat qui permet à Paris de ne pas dépenser d’argent sur ce coup cet été et donc d’envisager une autre arrivée. Comme celle de Randal Kolo Muani, par exemple.
Paris a tenté Kane
En parallèle des discussions pour Gonçalo Ramos, le PSG a mené de front un autre dossier. Paris a en effet tenté de mettre la main sur Harry Kane, dont le contrat avec Tottenham prenait fin (juin 2024). Une opportunité de marché que Luis Campos a souhaité saisir. Mais selon nos sources, le dossier a rapidement tourné court. Pour deux raisons.
Un entourage compliqué et gourmand
Selon nos informations, dès le départ, les négociations avec le père et le frère de Harry Kane – qui gèrent ses intérêts – ont été compliquées. Très rapidement, Paris a compris que ce dossier serait difficile à piloter. Un entourage familiale complexe et gourmand qui n’a pas été du goût des dirigeants parisiens.
PSG : Mbappé retourne sa veste, c'est la panique au Real Madrid https://t.co/AsTMxgd7Ri pic.twitter.com/5B3TPM9A66
— le10sport (@le10sport) August 14, 2023
Kane jugé trop cher
De plus, le PSG a estimé que le montant réclamé par Tottenham était trop important. Plus de 100 millions d’euros (le Bayern Munich a finalement payé 110 millions d’euros) pour un joueur de 31 ans à qui il ne restait qu’un an de contrat, Paris n’a pas voulu suivre. D’autant plus lorsque Luis Campos est parvenu à trouver un accord avec le Benfica Lisbonne pour un prêt avec option d’achat, permettant à Paris de reporter sa dépense à 2024.