«Sur un malentendu... », le PSG ouvertement menacé ?
Benjamin Labrousse -
Rédacteur
Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine.

Après une nouvelle victoire importante acquise contre l’OL dimanche soir (2-3), le PSG va tenter de poursuivre sur sa lancée ce mercredi soir en Coupe de France. Paris se déplace à Rennes afin d’y retrouver le Stade Briochin en quarts de finale (21h10). Vétéran et défenseur des locaux, Christophe Kerbrat veut croire à un exploit face à l’ogre parisien.

Et de 14 pour le PSG ? En 2025, le club de la capitale a déjà acquis 13 victoires toutes compétitions confondues. Hormis le nul concédé en Ligue 1 à Reims, Paris n’a connu que des succès. Au-delà de ces résultats probants, le club francilien affiche une réelle maîtrise dans son jeu, mais aussi dans son état d’esprit, ce à quelques jours désormais avant le choc européen face à Liverpool.

« Ces mecs sont beaucoup plus forts que nous mais sur un malentendu »

Ainsi, ce PSG version 2025 fait peur. Défenseur du Stade Briochin, Christophe Kerbrat va retrouver un club qu’il a connu lors de ses nombreuses années à Guingamp. Le vétéran de 38 ans concède au Parisien que seul un exploit pourrait sauver les siens ce mercredi soir en quart de finale de la Coupe de France. « Ces mecs sont beaucoup plus forts que nous mais sur un malentendu… Vous connaissez la suite même si ça ne marche qu’au cinéma (sourires) », confie-t-il.

« Cette pureté, elle sera encore présente face au PSG à 38 ans »

« Le foot m’a donné tellement que terminer de cette manière, c’est génial. En Ligue 1, mes enfants étaient trop petits pour apprécier ce que je faisais. Là, ils vont vivre quelque chose de fort avec leur papa. Jusqu’à la fin, j’aurai conservé cet ADN de la simplicité du foot. Malgré mes matchs en senior, je n’ai pas oublié ces moments avec les tournois de jeunes et les copains. Ce plaisir-là d’enfant, il est toujours là. Cette joie, cette pureté, elle sera encore présente face au PSG à 38 ans. Je suis aussi très fier de cela », conclut Christophe Kerbrat.

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