Payet - OM : La folle anecdote !
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Déjà connu pour son ambiance électrique, le Stade Vélodrome l’est encore plus depuis ses travaux et la couverture de toutes ses tribunes il y a maintenant 10 ans. Ce qui fait une réelle différence, comme l’a confié l’ancien capitaine de l’OM Dimitri Payet, à qui il est parfois arrivé de jouer avec des bouchons d’oreilles.

À l’occasion de l’anniversaire des 10 ans des travaux du Stade Vélodrome, Dimitri Payet s’est confié dans un entretien accordé à France Bleu Provence. Un stade qu’il a connu dans sa version actuelle, mais également dans la précédente, que ce soit en tant qu’adversaire, lui qui est passé par le FC Nantes, l’ASSE et le LOSC, puis comme joueur de l’OM à son arrivée en 2013.

« Les souvenirs qui me viennent, ce sont les soirs de coupe d’Europe »

L’agrandissement de 7000 places et la couverture de toutes ses tribunes a fait une « sacrée différence » en ce qui concerne l’ambiance au sein du Stade Vélodrome pour Dimitri Payet, qui s’est remémoré certains soirs de coupe d’Europe : « Ce bruit parvient à vous porter ? Ah oui. On a des soirs… Les souvenirs qui me viennent, ce sont les soirs de coupe d’Europe. On a des soirs de coupe d’Europe où l’on sent vraiment que ce soir, ce n’est pas possible, ça ne va pas le faire de l’autre côté (l’adversaire) : "On joue à 63.000, ils ne peuvent pas gagner, ce n’est pas possible”. »

Payet a joué « une ou deux fois » avec des bouchons d’oreilles

Une ambiance qui a parfois obligé Dimitri Payet a utilisé des bouchons d’oreilles. « Parfois. Cela m’est arrivé une ou deux fois », a ajouté l’ancien capitaine de l’OM. « Le quart de finale retour (Ligue Europe 2018) contre Leipzig, en deuxième mi-temps, quand ça pousse fort, que l’on marque, que l’on mène. Même moi, je me disais : "j’ai l’impression que la pelouse bouge, je me suis dit, ça va tomber, ce n’est pas possible. C’est extraordinaire. »

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