«T'es mort» : Le PSG a trouvé son sauveur !
Alexis Poch -
Journaliste
Titulaire d'un Master en journalisme sportif, je suis tombé amoureux du tennis dès l'enfance et j'ai toujours aimé lire les belles histoires de ce sport. Aujourd'hui, je souhaite les raconter, profiter de ma passion à fond et être au plus proche des as du circuit.

Face à Aston Villa, le PSG a réussi à décrocher sa qualification pour les demi-finales de la Ligue des champions. Mais lors du match retour, tout s'est emballé pour les hommes de Luis Enrique et les Villans n'étaient pas loin de réussir à inverser la tendance si Gianluigi Donnarumma ne s'y était pas opposé.

En réussissant une performance de haut vol face à Aston Villa mardi, Gianluigi Donnarumma a été salué. Celui dont la prolongation avec le PSG est remise en doute depuis des mois a clairement répondu à l'appel au bon moment. Il a pris ses responsabilités et a réussi plusieurs arrêts importants face aux adversaires villans. Une performance très apprécié par Jérôme Alonzo, ancien joueur du club.

Donnarumma impressionnant face à Aston Villa

Alors que le PSG semblait avoir le match en main, Aston Villa est revenu dans la partie et avait même plusieurs occasions de revenir à égalité au score en cumulant les deux matches. Gianluigi Donnarumma a été très fort pour éviter la catastrophe. « Dans la tempête, j'ai vu que lui comme chef. J'ai toujours pensé qu'en sport de haut niveau, comme dans une entreprise d'ailleurs, si tu n'as pas un chef, t'es mort. Et à Villa Park, je trouve que sa prestation mentale et que sa prestance, c'était vraiment abouti. Et dans la tempête, je n'ai vu que lui » analyse Jérôme Alonzo dans Téléfoot ce dimanche.

Donnarumma est le nouveau chef

Parfois critiqué pour ses petites erreurs sur le terrain, Gianluigi Donnarumma s'est totalement réconcilié avec les supporters parisiens. Le PSG sait qu'il peut compter sur lui. « Sa progression cette saison est vraiment celle que j'attendais. Le gardien c'est le chef, c'est le quarterback. C'est le mec que tout le monde regarde. T'es pas habillé pareil que les autres, t'es un personnage différent dans la vie du vestiaire, sur le terrain, et ça doit se ressentir. Je le sentais pas avant et je le sens désormais depuis Liverpool » poursuit Jérôme Alonzo.

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