OM - Clash : Adil Rami dézingue encore une fois Jacques-Henri Eyraud !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Depuis son licenciement de l’OM en 2019, Adil Rami ne lâche pas Jacques-Henri Eyraud. Et ce mercredi, le champion du monde en a remis une couche sur le président phocéen.

Entre 2017 et 2019, Adil Rami a défendu les couleurs de l’OM. Une histoire qui s’est toutefois très mal terminée puisque le défenseur central a été licencié par le club phocéen. Alors que le conflit se poursuit désormais devant les tribunaux, le joueur de Boavista garde encore la dent dure contre son ancien club, en particulier, Jacques-Henri Eyraud. En effet, ces derniers mois, Rami a multiplié les sorties à charge contre le président de l’OM. « Le problème avec Marseille, il est unique. Moi j'aime l'OM, mais c'est une personne qui a fait une erreur et c'est le club qui va payer, c'est ça qui est triste », avait-il notamment lâché contre Eyraud, sans toutefois citer son nom.

« Il y a une personne que je hais »

Ce mercredi, à l’occasion d’un entretien accordé au Figaro, Adil Rami s’en est encore une fois pris à Jacques-Henri Eyraud. L’ancien de l’OM s’est ainsi lâché sur le président phocéen, encore une fois sans citer son nom, expliquant : « J’adore ce club et les gens qui le suivent, mais il y a une personne que je hais. Il a eu l’habitude de travailler avec Mickey et Dingo et il croit que c’est la même chose dans le monde du foot. Il m’a manqué de respect et les gens ne connaissent pas les vraies raisons de ma sortie avec l’OM. On pense que c’est à cause de « Fort Boyard » (il avait participé à l’émission sans l’accord du club), mais ça n’a rien à voir. Je ne peux pas en parler, mais un jour, on saura la vérité. Je suis en procès avec eux, j’ai été viré injustement et la justice fera son travail. Je suis tranquille, et comme dirait Ribéry, « je n’ai keçaquadire » (il éclate de rire) ».

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