OM : «Incompréhensible», il balance sur Longoria
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Président de l’OM depuis plus de deux ans, Pablo Longoria n’échappe pas aux critiques ces derniers temps. Que ce soit en ce qui concerne les nombreux mouvements sur le mercato ou la gestion du cas Jonathan Clauss, la présidence de l’Espagnol est remise en question. L’ancien marseillais Bernard Casoni avoue qu’il y a des décisions incompréhensibles à Marseille.

Presque adulé à Marseille depuis qu’il est devenu le président de l’OM en février 2021, Pablo Longoria a vu sa cote de popularité baisser ces derniers mois. Que ce soit en ce qui concerne les nombreux changements d’entraîneurs et les mouvements incessants sur le mercato, certaines décisions du dirigeant espagnol interrogent. Et c’est notamment le cas pour Bernard Casoni.

«On peut se poser des questions sur cette direction»

« La présidence de Longoria ? Sincèrement, je le vis de loin l’OM. Je ne suis pas dedans, c’est difficile d’en parler. Déjà quand on est au sein du club, c’est difficile de savoir d’où ça vient. Maintenant, il y a eu des interventions, il y a eu des choses qui se sont passées où l’on peut se poser des questions sur cette direction », a confié Bernard Casoni, dans un entretien accordé à Daily Mercato.

«Ce qui s’est passé avec Jonathan Clauss, c’est étrange»

La gestion de Jonathan Clauss est un point qui interroge l’ancien joueur de l’OM. L’international français a été poussé vers la sortie en fin de mercato hivernal, puis critiqué publiquement par Pablo Longoria et Medhi Benatia, qui lui reprochaient un manque d’investissement au quotidien : « Ce qui s’est passé avec Jonathan Clauss, c’est étrange. Le mec est international, après on en veut plus, il faut qu’on m’explique pourquoi. De l’extérieur, il y a vraiment des décisions qui sont incompréhensibles et difficiles à analyser », a ajouté Bernard Casoni.

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