OM - Greenwood : Il sort du silence après avoir fait le buzz
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Cet été, l’OM a sorti le chéquier lors du mercato estival. Parmi les 12 joueurs qui ont rejoint le club phocéen, l’un des gros coups a bien évidemment été le transfert de Mason Greenwood en provenance de Manchester United. Le 19 juillet dernier, l’Anglais avait alors été présenté à la presse. Une conférence lors de laquelle une séquence avait fait le buzz. A l’origine de celle-ci, Avi Assouly s’est expliqué.

Nouveau joueur de l’OM, Mason Greenwood avait été précédé à son arrivée par la polémique dont il avait fait l’objet. Logiquement, à l’occasion de sa présentation à la presse en juillet dernier, l’Anglais avait dû répondre aux questions sur les accusations de viol et violences conjugales. Mais voilà que c’est une autre question posée à Greenwood qui avait fait le buzz lors de cette conférence de presse. « Vous savez c’est quoi la traduction de votre nom en Français », avait demandé un journaliste avant d’enchainer en disant « Bois vert ».

« Tout le monde faisait la gueule »

Ce journaliste en question, c’est Avi Assouly. Et pour 1899 L’Hebdo, il est revenu sur ce buzz lors de la conférence de présentation de Mason Greenwood, expliquant alors : « Je le suivais, un formidable joueur. Je n’excuse pas tout, mais ce qui a été fait a été fait. Le mec s’est racheté plus ou moins. Sa femme s’est mariée avec lui, elle lui a donné une fille. En conférence de presse, j’ai voulu décontracter les choses. Il a signé. Il n’a pas été condamné. Il y avait son père, Longoria, tout le monde faisait la gueule. Je trouve une combine : je me dis Greenwood, bois vert. Je lui dis en disant que c’est pour rire ».

« Je l’ai vu trembler, blanc, il fallait l’aider ce petit »

« Quelques-uns se sont mis à rire, dont Longoria. Ça a décontracté. Certains supporters disaient : « Mais c’est qui ce journaliste ? Il est encore là ? ». Mais ils l’avaient pas suivi le début et la fin. Il y a du bon chez l’homme. Il faut prendre le mauvais et le bien. Je l’ai vu trembler, blanc, il fallait l’aider ce petit », a-t-il poursuivi.

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