Nouveau patron à l’OM, c’est un échec
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Avec l’arrivée de Roberto De Zerbi sur le banc de l’OM, Leonardo Balerdi a été conforté dans son rôle de patron de l’effectif marseillais. Capitaine, l’Argentin est également l’un des plus anciens joueurs de l’effectif. Mais pour le moment, Balerdi peine à s’imposer dans ce rôle comme le souligne José-Karl Pierre-Fanfan.

Depuis la nomination de Roberto De Zerbi sur le banc de l'OM, Leonardo Balerdi a pris de l'épaisseur au sein d'un effectif totalement remanié. Capitaine, l'Argentin fait donc partie des joueurs les plus anciens à Marseille, mais il peine à assumer son statut de leader comme le regrette José-Karl Pierre-Fanfan.

Balerdi interroge l'OM

« Ce n'est pas toujours facile de supporter le brassard de capitaine, il faut penser à soi, à sa prestation, mais aussi aux autres car quand tu es capitaine, tu dois insuffler quelque chose. À lui de trouver la bonne mesure dans ce registre », estime l’ancien défenseur central du PSG dans les colonnes de La Provence avant de poursuivre.

«Quand tu es capitaine, tu dois insuffler quelque chose»

« Celui qui a le plus d'expérience et de bagout, selon moi, c'est Geoffrey Kondogbia. Mais il doit s'adapter. Balerdi et Kondogbia ont les faveurs de leur entraîneur ; à eux d'apporter un gage de sécurité match après match. Et même si Kondogbia a joué deux matchs en défense avec l'Atlético, c'est un milieu de terrain. Il doit s'adapter à un nouveau poste, prendre ses repères, et il n'est pas aidé si Balerdi est fragilisé », ajoute José-Karl Pierre-Fanfan.

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