De Zerbi, la trahison qui secoue l'OM !
Hugo Chirossel -
Journaliste
Passionné de football depuis le plus jeune âge, devenir journaliste sportif est rapidement devenu une évidence pour Hugo. Il se découvrira plus tard un amour pour la NBA, avant d’explorer d’autres horizons comme ceux de la Formule 1 et de la NFL.

Après avoir concédé une nouvelle défaite samedi dernier face à l’AS Monaco (3-0), la quatrième lors des cinq derniers matchs, la tension est à son comble à l’OM. L’attitude de certains joueurs est critiquée en interne et une taupe qui fait ressortir ce qu’il se passe au sein du vestiaire de Roberto De Zerbi ne fait rien pour arranger la situation.

Bien qu’il se soit largement incliné sur la pelouse de l’AS Monaco samedi dernier (3-0), l’OM a toujours son destin entre ses mains dans l'optique d’une qualification en Ligue des champions. S’ils ont laissé leur seconde place aux Monégasques, les Olympiens sont toujours troisièmes, avec deux points d’avance sur le cinquième, mais le climat en interne ne semble clairement pas propice à retrouver la C1.

Une taupe au sein du vestiaire de l’OM

Comme indiqué par RMC Sport, l’attitude de plusieurs joueurs agace en interne. Parmi eux, on retrouve toujours Mason Greenwood et Luis Henrique, déjà pointés du doigt depuis plusieurs semaines. L’intervention de plusieurs leaders, comme Pierre-Emile Hojbjerg et Adrien Rabiot, pour remobiliser le groupe ne s’avère pas efficace. Au sein de l’OM, une différence d’implication entre les cadres et les plus jeunes interpellent. « Il suffit de voir le niveau d’engagement de certains aux entraînements », a lâché un proche du club.

« Je sais sûrement qui vous raconte les choses »

En plus de tout cela, une taupe révèle les événements qui se passent au sein du vestiaire, ce qui accentue un peu plus les tensions et le pessimisme n’est clairement pas de mise actuellement à l’OM. Une taupe que Roberto De Zerbi avait déjà évoquée avant la réception de Toulouse (3-2), après les révélations de L’Équipe sur la semaine des Marseillais et un présumé début de mutinerie d’une partie des joueurs contre leur entraîneur. « Je savais que ça allait sortir et je sais sûrement qui vous raconte les choses, je connais les sources. Si j'avais pensé à ne pas le faire sortir, j'aurais pu travailler de manière traditionnelle, sans rien risquer » avait répondu Roberto De Zerbi face aux journalistes.

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