«Le pire», il prédit un enfer au PSG
Alexis Brunet

Mercredi soir, le PSG s’est qualifié pour les huitièmes de finale de la Ligue des champions en venant à bout du Stade Brestois sur le score de sept buts à zéro. Pour son prochain affrontement en C1, le club de la capitale pourra hériter soit de Liverpool, soit du FC Barcelone. Si les Reds se dressent sur la route des Parisiens, cela sera toutefois très compliqué d’après Momo Sissoko.

Le PSG peut souffler. Mercredi soir, le club de la capitale a décroché sa qualification pour les huitièmes de finale de Ligue des champions en triomphant de Brest. Il y a quelques mois, cela était pourtant loin d’être gagné, car le club de la capitale enchaînait les défaites, notamment contre le Bayern Munich, l’Atlético de Madrid et Arsenal.

Liverpool ou le Barça pour le PSG ?

Le PSG avait donc hérité du Stade Brestois pour les barrages, mais cela sera bien plus compliqué lors des huitièmes de finale. En effet, le club de la capitale aura sur son chemin soit le FC Barcelone, soit Liverpool. Deux mastodontes du football européen, qui prouvent encore cette saison qu’ils sont des candidats crédibles au sacre final en C1.

« Il faut être solide dans le jeu et dans les têtes »

Interrogé par Le Parisien, l’ancien joueur du PSG Momo Sissoko semble avoir une petite préférence pour Paris. Pour l’ancien milieu de terrain, si le club de la capitale veut aller au tour suivant, il doit éviter une autre de ses anciennes équipes Liverpool, car cela pourrait être très compliqué, notamment en cas d’un hypothétique match retour à Anfield. « Liverpool est le pire adversaire à prendre en ce moment. C’est clairement l’équipe la plus compétitive, la plus en jambes. Ce n’est pas un hasard s’ils contrôlent la Premier League. Un affrontement face à Paris aurait un côté hyperspectaculaire. Mais le PSG devra jouer le retour à Anfield et pour tenir un résultat là-bas, croyez-moi, il faut être solide dans le jeu et dans les têtes. Dès le tunnel, quand tu entends le You’ll never walk alone, tu comprends que la pression n’est pas la même qu’ailleurs. » Affaire à suivre…

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