«J’étais stressée...» : Elle raconte son aventure avec Adil Rami
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Adil Rami, ex-footballeur de l'OM, continue de surprendre sur le parquet de "Danse avec les stars", se hissant en demi-finale grâce à un impressionnant paso doble réalisé avec Ana Riera lors du dernier prime vendredi soir. Pendant ce temps, Julie Zenatti a quitté la compétition, une élimination que la chanteuse juge logique.

Ancien joueur de l’OM, Adil Rami régale le jury et les fans de l’émission "Danse avec les stars" cette année, au point de s’imposer comme la belle surprise de cette 14e saison aux côtés de la danseuse Ana Riera. Vendredi, le couple s’est qualifié pour la demi-finale grâce à un paso doble qui a régalé les jurés, attribuant la note totale de 39/40. La chanteuse Julie Zenatti a quant à elle été éliminée.

« Je n’ai pas été à la hauteur de la soirée »

Interrogée par Le Parisien, Julie Zenatti est revenue sur sa sortie du programme qu’elle juge « relativement logique » : « C’est un stade de la compétition où il y a des performances d’exception comme celles de Lénie ou Adil Rami vendredi soir. Je n’ai pas été à la hauteur de la soirée, c’est donc normal (que je sois éliminée). »

« Il y avait de la fatigue après neuf semaines à danser à fond »

Alors qu’elle n’a pas convaincu le jury vendredi soir, la chanteuse justifie le niveau de sa prestation : « J’étais surtout un peu stressée. Et puis il y avait de la fatigue après neuf semaines à danser à fond, sans oublier que j’ai deux enfants et un album en préparation. Je pense aussi que mon corps était arrivé au bout de cette aventure. Comme tout le monde, je me suis fait mal un peu partout. J’ai notamment une déchirure au niveau des obliques. Je suis allée au maximum de ce que je pouvais faire. C’était le bon moment pour partir. Surtout quand je vois le sourire de Mayane (qu’elle a affrontée en face-à-face), heureuse de continuer, et qui le méritait. »

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