Transferts : Il choisit l’OM et ne le regrette pas !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Avec onze recrues au compteur, l’Olympique de Marseille s’est renforcé à toutes les lignes, et Pierre-Emile Hojbjerg apparaît comme l’un des gros coups du mercato phocéen. Le nouveau capitaine du Danemark qui évoluait jusqu’ici à Tottenham est revenu pour RMC sur ses premières semaines dans la cité phocéenne.

Désireux de tourner la page après une saison éprouvante, l’OM a tout changé ou presque durant le mercato estival. Onze recrues ont posé leurs valises dans la cité phocéenne, à l’instar de Mason Greenwood, Lilian Brassier ou encore Pierre-Emile Hojbjerg. Ce dernier est arrivé en provenance de Tottenham et n’a pas tardé à séduire Roberto De Zerbi et les supporters marseillais. Invité de RMC, Hojbjerg est revenu sur son adaptation.

« C'est très facile de bien travailler avec le sourire »

« Je me suis senti bien accueilli dès le début. On m'a pris les bras ouverts, donc pour c'est très facile de bien travailler avec le sourire. Tout le monde m'a bien reçu », confie Pierre-Emile Hojbjerg, qui n’a pas tardé à apparaître comme l’un des leaders de cette nouvelle équipe : « Oui c'est vrai, chaque joueur a sa personnalité, son humanité qu'il amène sur le terrain. Toutes les choses qu'on fait en tant que joueur, c'est pour aider l'équipe, pour l'ambiance et pour avoir de bons résultats. »

« De mes 2-3 ans à 15 ans, je passais toujours minimum trois semaines en France »

Une bonne adaptation qui s’explique aussi par sa très bonne maîtrise de la langue française. « Ma mère est à moitié Française ! En fait, c'est la première fois que je mets les pieds dans le Sud, même si je suis venu une fois au Vélodrome. J'avais des grands-parents qui avaient une maison de campagne en Bourgogne. Tous les étés, on partait là-bas, trois semaines ou plus. Plus grand, j'ai fait des stages de foot et ça m'a beaucoup plu aussi. Mais de mes 2-3 ans à 15 ans, je passais toujours minimum trois semaines en France », révèle Hojbjerg.

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