PSG : La sortie lourde de sens de Barcola en privé !
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

En l'espace de quelques mois, Bradley Barcola est devenu un titulaire indiscutable sous le maillot du PSG, mais aussi un élément incontournable de Didier Deschamps en équipe de France. Ancien entraîneur adjoint de l'OL, Claudio Caçapa a dévoilé la recette miracle, qui permet à l'ailier de tutoyer les sommets à seulement 22 ans.

Ces dernières semaines, il a beaucoup été question de Bradley Barcola. Il faut dire que le joueur a marqué ce début de saison de son empreinte en inscrivant quatre buts lors des trois premiers matches de championnat. Par la suite, il a marqué l’histoire de l’équipe de France en devenant le joueur le plus rapide à inscrire un but. A 22 ans, c’était peut-être trop pour Barcola, qui traverse un net coup de moins bien depuis quelques semaines.

Luis Enrique évoque le cas Barcola

Mais après la rencontre face au Stade de Reims ce samedi (1-1), Luis Enrique n’a pas souhaité incriminer son joueur. « Tous mes joueurs ont lutté, ont donné leur maximum et après le foot c’est comme ça… Parfois cela passe, parfois non. Je comprends les critiques, mais je reste satisfait de tous mes joueurs » a confié le coach du PSG. Son ancien formateur à l’OL, Claudio Caçapa ne s’inquiète pas pour son ancien protégé.

«Bradley disait qu’il ne baisserait jamais les bras»

Selon lui, Barcola présente des qualités qui pourraient lui permettre de remonter la pente. « Il a des qualités de résilience et s’il n’avait pas ça, il n’arriverait pas à être footballeur professionnel ou joueur du PSG. À Lyon, on ne lui a pas fait de cadeaux. Je me souviens qu’il s’entraînait parfois arrière gauche ou latéral droit. Il savait qu’il ne faisait pas partie du groupe et mentalement, c’était dur. Mais sa force est là : il ne parle pas beaucoup, il travaille. Je me souviens de nos discussions et Bradley disait qu’il ne baisserait jamais les bras, car c’était le seul moyen de prouver » a confié le Brésilien au Parisien.

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