En dehors de Khvicha Kvaratskhelia, le Paris Saint-Germain s’est montré assez discret au niveau des arrivées. Tout le contraire des départs, avec notamment Randal Kolo Muani qui a quitté le club pour rejoindre la Juventus pour un prêt de six mois. Mais la carrière de l’international français aurait pu avoir une autre trajectoire cet hiver...
La presse italienne ne parle que de lui. Après un but pour son premier match avec la Juventus dans un choc bouillant face au Napoli (2-1), Randal Kolo Muani a enchainé avec deux doublés signés face à Empoli (4-1) et face à Como (1-2). De quoi faire oublier sa piètre première partie de saison au PSG, où il n’avait signé que deux petites réalisations en quatorze rencontres toutes compétitions confondues.
Luis Enrique prépare un coup surprenant au PSG ! 🔄 Campos en balance, l'avenir s'annonce mouvementé. https://t.co/hBo3xIuaiY
— le10sport (@le10sport) February 8, 2025
Kolo Muani impressionne à la Juventus
« C'est un grand joueur, je m'attendais à ce qu'il réussisse, mais il peut encore faire mieux » a récemment déclaré son entraineur Thiago Motta, qui l’a titularisé trois fois sur les trois matchs possibles, reléguant notamment certain Dusan Vlahovic sur le banc des remplaçants. Car à la Juventus on semble être très content de l’arrivée de Kolo Muani et certains médias parlent déjà d’un possible transfert, avec le PSG qui pourrait bien encaisser une belle somme.
« Je voulais aussi Kolo Muani, mais... »
Randal Kolo Muani aurait toutefois pu rejoindre deux autres clubs de Serie A lors du dernier mercato ! D’après les informations de Gianluca Di Marzio, l’AC Milan et l’AS Roma auraient été à un certain moment en négociations avancées avec le PSG pour l’attaquant français. Ils proposaient toutefois de prendre en charge que 50% du salaire du joueur, alors que la Juventus aurait accepté de payer l’intégralité. Des informations qui confirment la récente sortie de l'entraineur romain Claudio Ranieri, qui a notamment déclaré en conférence de presse : « Je voulais aussi Kolo Muani, puis on a vu que ce n'était pas possible à cause du salaire ».