PSG : 180M€ pour Mbappé, Riolo boucle le transfert !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Ces dernières années, pour le PSG, il n'a jamais été question de se séparer de Kylian Mbappé. Des offres XXL sont arrivées pour la star française, mais le club de la capitale a toujours fermé la porte à double tour. Pour les Qataris, un transfert de Mbappé n'a donc jamais été envisagé, mais voilà qu'avec Daniel Riolo comme président du PSG, l'histoire aurait été différente.

« Jamais je ne vais retenir de force »

Si Daniel Riolo était le président du PSG, cela se serait passé différemment en ce qui concerne Kylian Mbappé. S'imaginant bien à la tête du club de la capitale, l'actuel journaliste RMC a expliqué pour DiversGens : « Mbappé serait vraiment parti avec moi ? Bien sûr. A partir du moment où il y a eu l’offre de 180M€ et qu’il vient dans mon bureau, qu’il y a une offre, tu t’en vas. Ça doit être ça la réflexion. Jamais je ne vais retenir de force. Le management à l’affecte des Qataris, c’est une catastrophe, ça a donné Mbappé ».

« Président du PSG ? Je pense que je pourrais faire ça pas trop mal »

Par ailleurs, en ce qui concerne la possibilité de devenir président du PSG, Daniel Riolo a confié : « Journaliste, c’est un métier, j’adore faire ça. Pourquoi j’irai prendre la direction d’un club ? Evidemment, la direction du PSG, je vais réfléchir. Et je pense que je pourrais faire ça pas trop mal. Quand je dis ça, les mecs disent : « Mais t’as fait quoi ? T’es qui pour pouvoir prétendre ? ». Denisot était journaliste, il est devenu président et on ne l’a pas préparé à ça. Aulas ne connait pas un mot de ballon. Ce que je peux apporter de plus ? Déjà la connaissance de l’histoire. J’aurais appliqué une méthode simple, celle des Anglais, qui est de marier l’histoire et le présent. De ne pas sombrer uniquement dans l’histoire. Ça aurait été ma base. Après quelques principes, que tu ne retiens jamais un joueur ».

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