Mercato - OM : «J’adore», un transfert le fait halluciner
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Et de quatre ! L’Olympique de Marseille a officialisé mardi l’arrivée de sa quatrième recrue de l’été à savoir Pierre-Emile Højbjerg, qui débarque sous la forme d’un prêt avec option d’achat en provenance de Tottenham. Une arrivée qui est d’ailleurs totalement validé par Florent Gautreau, qui adore le profil de l’international danois.

Hyper actif sur le mercato, l'OM a d'ores et déjà bouclé sa quatrième recrue de l'été en obtenant le prêt avec option d'achat de Pierre-Emile Højbjerg qui débarque en provenance de Tottenham. Un très joli coup pour l'OM comme le souligne Florent Gautreau, qui ne tarit pas d'éloges pour le nouveau Marseillais.

Højbjerg signe à l'OM

« Je m’emballe, non pas parce qu’on sait déjà ce que ça va donner, mais parce que le projet me semble assez cohérent. Et pas seulement sur les joueurs qui arrivent, mais aussi sur les joueurs que De Zerbi a décidé d’écarter. Sur le gardien par exemple, ça me paraît important de passer un cap. Pau Lopez, on a vu que le jeu au pied était une donnée importante pour détrôner Mandanda, mais que ça n’était pas suffisant. Sur Gigot c’est pareil, ce n’est pas suffisant pour l’OM. En fait, on avait une équipe insuffisante techniquement », assure le journaliste de RMC au micro de l’After Foot, avant de poursuivre.

«Højbjerg j’adore»

« En termes d’effectif, ce n’était pas du tout à la hauteur par rapport à ce qu’est l’OM, même s’il y a eu un trompe-l’œil avec ce parcours en coupe d’Europe. Mais tu vois avec le bouillon au retour que l’équipe a été remise à sa place. Højbjerg j’adore, c’est quelqu’un qui frappe énormément en dehors de la surface et qui est chirurgical. Gros pressing, état d’esprit irréprochable. Quand tu regardes l’intersaison dernière, Marcelino arrivait un peu comme un cheveu sur la soupe, car en termes de système, tu te demandais comment il allait faire ce qu’il voulait avec l’effectif qu’il avait », ajoute Florent Gautreau.

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