Mercato : Luis Enrique lui fait une promesse, le PSG a tout gâché
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Apparu seulement dix minutes au total durant la saison avec le PSG, Layvin Kurzawa n'est jamais entré dans les plans de Luis Enrique. Et pourtant, le latéral gauche assure qu'il avait une très bonne relation avec le technicien espagnol qui semblait apprécier ses qualités. Par conséquent, la décision de peu faire jouer Kurzawa semble venir de plus haut.

«J'ai une très bonne relation avec le coach»

« C'est pour ça que je décide de rester, parce que j'ai une très bonne relation avec le coach, je joue la plupart des matches de préparation, et je me sens très bien. J'ai comme l'impression à ce moment-là que le coach me fait confiance. Il parle très bien de moi, Nuno Mendes est blessé pour un certain moment, donc il n'y a pas de vrai latéral gauche. Il y a Lucas Hernandez, mais qui peut jouer dans l'axe. Donc pour moi, c'est une opportunité. Je suis bon, je le sais et on me le fait comprendre. Aux entraînements aussi, j'ai des retours de l'entraîneur et du staff qui me disent qu'il fallait que je continue », explique-t-il dans une interview accordée au Média Carré, avant de poursuivre ses explications.

«Je pense que c'était une décision venue d'au-dessus»

« Le club voulait me vendre ? Je pense... Mais on me le fait comprendre à la fin du mercato. On me dit d'abord que ça allait être difficile de pouvoir jouer cette saison, mais vu ma pré-saison et les retours que j'ai du directeur sportif et du coach, je me fais à l'idée que c'est possible. Et je ne pense pas que toute la saison, c'était la décision du coach. J'avais une relation très humaine avec le coach que j'apprécie beaucoup, mais je pense que c'était une décision venue d'au-dessus (...) Ces six derniers mois, c'est le moment le plus dur de ma carrière. Parce que même si je peux comprendre qu'on mette quelqu'un à la cave, pour il faut avoir un minimum respect de l'homme, et ils ne l'ont pas eu », ajoute Layvin Kurzawa.

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