En fin de saison dernière, Kylian Mbappé a annoncé qu’il ne prolongerait pas au PSG. Il a donc quitté le club parisien pour rejoindre le Real Madrid. La question qui se posait alors était de savoir comment le PSG allait remplacer un joueur capable de marquer plus de 40 buts par saison. Luis Enrique a répondu à cette question et les joueurs semblent totalement réceptifs à cette idée.
Mercredi, le PSG fera son entrée en lice en Ligue des Champions. Après avoir atteint le dernier carré la saison dernière (élimination face au Borussia Dortmund), le club de la capitale jouera sa première rencontre face à Gérone. L’occasion de voir si l’absence de Mbappé ne porte pas trop préjudice à son ancien club.
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— le10sport (@le10sport) September 13, 2024
«Il vaut mieux avoir quatre joueurs qui marquent 12 buts»
Interrogé en début de saison sur l’absence de Kylian Mbappé, Luis Enrique, l'entraîneur du PSG avait alors répondu : « C’est un défi passionnant. C’est un défi de montrer que le football est un sport collectif. C’est un défi pour les attaquants, mais aussi pour toute l’équipe. Nous voulons être un acteur majeur de toutes les compétitions, donc il faut améliorer à la fois l’attaque et la défense. Mon avis c’est qu’on peut y arriver. C’est mon objectif (…) Si quelqu’un marque 40 buts, on ne lui fermera certainement pas les portes, mais si je m’appuie sur mon expérience, il vaut mieux avoir quatre joueurs qui marquent 12 buts. Ça fera 48 buts et c’est mieux que 40. »
«C’est de plus en plus une philosophie collective»
Le capitaine du PSG, Marquinhos a justement évoqué ce mardi en conférence de presse la question de la vision collective prônée par Luis Enrique : « Je pense que le coach a l’expérience et sait très bien ce qu’il dit. Il savait que d’autres joueurs allaient se montrer, avec de nouvelles opportunités en attaque. C’est ce qui se passe maintenant. Les joueurs marquent et sont contents, en confiance, c’est le plus important. Je pense que le coach nous amène de plus en plus dans la philosophie qu’il veut pour son équipe, le club, pour l’institution. C’est de plus en plus une philosophie collective. »