De retour en Ligue 1, l’ASSE espère ne pas faire de la figuration dans l’élite. Dans cette optique, les Verts ont déboursé 10M€ pour attirer quatre nouveaux à savoir Yunis Abdelhamid, Ben Old, Zuriko Davitashvili et Augustine Boakye. Un recrutement qui n’est visiblement pas du goût de tout le monde, mais qui n’est toutefois pas encore terminé.
Depuis l'ouverture du mercato, l'ASSE a déboursé 10M€ pour recruter quatre nouveaux joueurs à savoir Yunis Abdelhamid, Ben Old, Zuriko Davitashvili et Augustine Boakye. Un recrutement qui fait parler et que certains observateurs trouvent insuffisants pour lutter avec les clubs de Ligue 1. Mais Benjamin Danet réclame de la patience et estime que les Verts sont dans les temps.
ASSE : Révolution sur le mercato, l’entraineur valide https://t.co/yPfKoUISAf pic.twitter.com/1DczpIdJQ8
— le10sport (@le10sport) July 22, 2024
«Quant au mercato, ou paraît-il l'ASSE a pris du retard, j'aimerai comprendre»
« Quant au mercato, ou paraît-il l'ASSE a pris du retard, j'aimerai comprendre. Quel retard. On le sait, les Verts ont besoin d'une pointe, d'un buteur. Et ils y travaillent. Il leur faut le retour de Cardona et ils sont également dessus. Deux dossiers sur lesquels la prudence est de mise et tant mieux. Cela évite de se tromper. Idem pour le poste du latéral gauche. Là-encore, les hommes forts de Kilmer tentent le Messin Udol et avancent sur des plans B », écrit le journaliste dans sa chronique pour BUT Football Club, avant de poursuivre.
«Un bon marché des transferts exige de la patience»
« En quoi ce début de mercato est-il donc inquiétant ? Assiste-t-on chez nos concurrents pour le maintien à un mercato flamboyant ? Pas vraiment, non. Un bon marché des transferts exige de la patience, de la réflexion. Et même de la discrétion. Voilà pourquoi, à cette heure, je n'ai aucune raison d'être inquiet. Le peuple Vert voulait garder Moueffek et Nadé, c'est acté. Davitashvili est un bon joueur, aucun doute là-dessus, quant à Old et Boakye, ce sont des paris. Olivier Dall'Oglio aura ses joueurs d'expérience, je n'ai aucun doute là-dessus. Et il sera alors temps, pour les plus sceptiques, de revenir à la raison », ajoute Benjamin Danet.