Après son transfert au PSG, il rencontre d’inattendus problèmes
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

A peine le dernier mercato estival ouvert, le PSG avait officialisé la venue de Matvey Safonov. Alors que ne s’attendait pas à l’arrivée d’un nouveau gardien, le club de la capitale a recruté le Russe, dépensant 20M€ pour le faire venir de Krasnodar. Safonov a ainsi posé ses valises à Paris. Le début d’une nouvelle aventure pour lui, qui a d’ailleurs déjà rencontré certains problèmes.

Du côté du PSG, on a donc terminé le mercato estival avec 4 recrues au compteur : Matvey Safonov, Joao Neves, Willian Pacho et Désiré Doué. Le premier cité a été recruté pour 20M€ en provenance de Krasnodar, offrant ainsi une nouvelle solution à Luis Enrique derrière Gianluigi Donnarumma au poste de gardien de but. Ayant actuellement rejoint la sélection russe, Safonov s’est confié sur ses premiers pas au PSG, dévoilant au passage quelques difficultés rencontrées.

« Il m'a fallu du temps pour me souvenir de tout le monde »

Nouveau joueur du PSG, Matvey Safonov a été interrogé par la sélection russe sur sa nouvelle vie à Paris. Et comme l’a expliqué le gardien parisien, ça n’a pas été facile pour lui au début de retenir les noms de tout le monde : « Je connaissais combien de joueurs du PSG à mon arrivée ? Seulement ceux qui étaient bien connus. Il m'a fallu du temps pour me souvenir de tout le monde, car certains d'entre eux ont des noms qui sont un peu difficiles à percevoir pour moi, donc, probablement, trois semaines et je me suis souvenu de tout le monde ».

Safonov en manque de bortsch

En débarquant au PSG, Matvey Safonov a rencontré un autre problème : la nourriture. A ce propos, le Russe a fait savoir : « Je m'attends à ce qu'ils nous donnent du bortsch ici, parce que le bortsch est mon plat préféré, et sans lui c'était un peu difficile, mais j'ai trouvé des endroits à Paris où ils cuisinent de la nourriture russe. Cela devenait difficile. Mais en principe, j’attends avec impatience le bortsch, mais en général, la cuisine ne me manque pas beaucoup ».

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