Alors que le Paris FC se prépare à un changement de propriétaire avec l’arrivée de la famille Arnault et du groupe Red Bull, le club a déjà marqué le mercato en recrutant Maxime Lopez. L'ancien joueur de l'OM s'adapte bien à sa nouvelle vie parisienne et évoque ses premiers pas en Ligue 2.
Le PFC va changer de dimension en changeant de propriétaire. La famille Arnault va mettre la main sur 55 % du club dans un premier temps, avant d’obtenir 30 % supplémentaires d’ici 2027, tandis que le groupe Red Bull va obtenir les 15 % restants. Les ambitions de l’autre club de la capitale vont être revues à la hausse, avec dans un premier temps l’objectif d’une montée en Ligue 1. Avant la révélation du projet de rachat, le Paris FC avait déjà frappé un premier gros coup sur le mercato avec le recrutement de Maxime Lopez.
Vente Paris FC : La famille Arnault débarque, c’est déjà la folie https://t.co/5Qn6nnqYtf pic.twitter.com/65EKmAFuPR
— le10sport (@le10sport) October 26, 2024
« Je me sens bien dans cette équipe depuis le début »
Parti en Italie en 2020 du côté de Sassuolo puis de la Fiorentina, l’ancien joueur de l’OM a donc fait son retour en France à Paris. Un choix qu’il ne regrette pas. « Moi, je ne m’ennuie pas. Personnellement, je pense que je me rapproche de mon meilleur niveau. J’avais besoin d’enchaîner les matchs, au niveau du rythme. Je me sens bien dans cette équipe depuis le début. Je me suis bien adapté au style de jeu, à ce que le coach attend de moi », a-t-il révélé à la veille du déplacement à Amiens, dans des propos rapportés par Le Parisien.
« La vie, elle est bien à Paris »
Maxime Lopez se montre notamment sous le charme de sa nouvelle vie parisienne, lui qui a grandi à Marseille. « La vie, elle est bien à Paris, on ne va pas se mentir… », reconnaît celui qui se montre élogieux vis-à-vis de la Ligue 2 : « Je m’y attendais car mon frère m’avait prévenu, mais physiquement, c’est quand même costaud. Je vois beaucoup de monde négliger la L2 mais techniquement aussi, il y a de très bons joueurs dans chaque équipe. Il y a pas mal de buts, ce n’est pas fermé. Il y a des équipes qui attaquent, prennent des risques. »