PSG : Le gouvernement Macron réagit à une polémique !
Alexis Poch -
Journaliste
Titulaire d'un Master en journalisme sportif, je suis tombé amoureux du tennis dès l'enfance et j'ai toujours aimé lire les belles histoires de ce sport. Aujourd'hui, je souhaite les raconter, profiter de ma passion à fond et être au plus proche des as du circuit.

La semaine dernière, le PSG a vécu une nouvelle déroute lors de la Ligue des champions face à l'Atlético de Madrid au Parc des Princes. La soirée a été animée par un tifo pro-palestinien qui a engendré une lourde polémique à tel point que Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur, n'avait pas tardé à réagir. Gil Avérous, ministre des Sports, a lui aussi voulu faire passer un message.

Tout nouveau ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative, Gil Avérous a vu sa table remplie de dossiers concernant les polémiques liées au football depuis sa prise de fonction. Parmi les dossiers du moment, celui du PSG et le tifo déployé par les supporters du club au Parc des Princes la semaine dernière. Le PSG a reçu une nouvelle réponse.

Le PSG a dépassé les limites ?

Déjà rappelé à l'ordre, le PSG a promis de mettre en place une surveillance plus contrôlée en ce qui concerne les tifos. Gil Avérous a tenu à mettre les choses au clair. « Plus il y aura de supporters autour du terrain, dans les enceintes, plus il y aura de la joie, plus je serai heureux. En revanche, je ne peux pas tolérer les dérives. Introduire un tifo dans un stade est déjà une dérogation à la règle » déclare-t-il dans une interview pour So Foot.

« Ce n’était pas un message sportif »

Interrogé à propos de la polémique autour du tifo "Free Palestine" arboré par les ultras du PSG, Gil Avérous a continué. « Le sujet, là, a été le caractère politique du tifo déployé face à l’Atlético de Madrid. Qu’on le veuille ou non, ce n’était pas un message sportif. "Free Palestine", ce n’est pas un message sportif. Nous, ce qu’on dit, c’est simplement que la provocation politique n’a pas sa place dans un stade ou, plus généralement, sur un terrain de sport, tout comme la violence » poursuit le nouveau ministre des Sports.

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