PSG : La stratégie de Luis Enrique pour frapper un grand coup
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Le PSG retrouve la Ligue des champions ce mercredi soir avec la réception de la Real Sociedad. Un huitième de finale que le club de la capitale aborde sereinement après deux éliminations successives à ce stade de la compétition. De son côté, Luis Enrique n’aurait rien changé à sa préparation malgré l’enjeu de la rencontre. 

Deuxième de sa poule, le PSG a hérité du meilleur adversaire possible sur le papier avec la Real Sociedad, septième de Liga. Après deux éliminations de suite en huitième de finale et plusieurs traumatismes en Ligue des champions, le club de la capitale a donc l’occasion de reprendre confiance dès ce mercredi soir. Et malgré l’enjeu, Luis Enrique n’affiche aucun stress en privé.

Luis Enrique ne change pas sa routine 

Alors que le PSG joue une partie de sa saison européenne ce mercredi soir, Luis Enrique n’a pas bouleversé sa préparation comme l’explique RMC. La routine de l’Espagnol n’a donc pas bougé, et aucun grand discours n’aurait été fait par le technicien parisien. Face à la presse, ce dernier avait déjà minimisé l’enjeu de cette rencontre. 

« Il faut être tranquille »

« J'ai la sensation, d'après ce que je perçois autour du club, que ça fait trois semaines qu'on parle de cette Ligue des champions à la télévision, comme s'il n'y avait que ça. Comme si c'était la vie ou la mort, soulignait Luis Enrique après la victoire contre Lille. Ce n'est pas le cas. Il faut être tranquille, avoir envie, mais sans pression, sans anxiété. On ne peut pas se dire : ''Mon Dieu, il n'y aura pas de lendemain si on perd''. Calme ! On va profiter de la Ligue des champions. Et puis si l'adversaire est meilleur, on applaudira. Ce n'est pas toujours bon d'avoir trop de pression. La pression, c'est pour ceux qui ont déjà remporté la Ligue des champions, nous, on ne l'a pas fait encore. On a simplement de l'envie. » Une position qui se fait donc ressentir sur le terrain.

Articles liés